Généralités
Les ONGs Les guides L'art L'artisanat
Wolof : Les salutations chez les Wolofs est un des aspects qui marquent l'étranger dès son arrivée. Le rituel des salutations, même s'il se perd de plus en plus au profit du "bonjour, ça va", reste très présent. Ainsi, si vous êtes étranger, n'ayez pas peur de saluer plusieurs fois la même personne dans la journée à partir du moment où vous vous êtes quittés. Et puis après tout c'est marrant. La tradition wolof, étendue aux Lébous, et dans une moindre mesure aux Sérères, veut que l'on répète lors des salutations le nom de son interlocuteur. Par exemple, si vous (Boris Eltsine) discutez avec Abdoulaye GUEYE, les salutations ressembleront à ça :
Abdoulaye Gueye : Ca va ! Nangadef ?
Boris Eltsine : Mangui fi rek !
Abdoulaye Gueye Sa yaram jam ?
Boris Eltsine : Jamm rek !
Abdoulaye Gueye : Eltsine
Boris Eltsine : Gueye Gueye
Abdoulaye Gueye: Eltsine
Boris Eltsine : Anawa Keurgueu ?
Abdoulaye Gueye : Niouga fa !
Boris Eltsine : Gueye
Abdoulaye Gueye : Elstine etc...
Le serrage de main est également très important. On serre la main aux hommes comme aux femmes. Ne vous étonnez pas si on vous tient la main un certain temps. On peut serrer la main durant toute la durée des salutations. Voila donc pour le wolof. Mais il pourra être très important pour vous de connaître les salutations basiques dans les différentes langues du pays :
Bassari -Mocciendé -Ayetou (ba kéow) |
Sérère -Nafio (pa) -Méhémène |
Crioulou
(créole de Guinée-Bissau) -Bom Dia -Bou chtà Bom ! -Chtà Bom |
Peulhs
(Fulani, Haal-Pulaar, Peul-Fouta) : -Nialéé djiam -Diamtoum |
Diola -Kassumay -Kassumay Kep (Kassumay Lamm chez les Diola Karoninka, Kassumay Balé pour les Floups) -Saafi (pour une seule personne) ou Saafoul (pour plus d'une personne) -Massoumay -Catindo (ou catasindo ou katabo) -Kookobo |
A SAVOIR : Le "Salam Aleykoum - Maleykoum Salam" musulman est omniprésent sauf en Casamance. N'hésitez pas à l'employer au maximum ! C'est la clé d'entrée du Sénégal. Que vous abordiez un taximan, un boutiquier, que vous rentriez dans une maison, en villa ou à la campagne, que vous vous adressiez à un homme, une femme, un vieux, Salamaleykoumez à outrance !
Voir
également la page étymologie pour voir
les curiosités et traductions insolites du parler
sénégalais
Voir
la page ethnies où l'ensemble des méthodes de langue
des communautés du Sénégal sont disponibles
Comme dans la plupart des pays en voie de développement, le marchandage est courant au Sénégal. Encore faut-il le pratiquer à bon escient et en toute sagesse. On ne marchande par exemple pas dans les "boutiques" qui vendent des produits de fabrication industrielle (dentifrice, biscuits, huile savon, sucre, café etc...) car les prix sont fixés soit par l'État (sucre, riz, huile ...) soit par le marché. Personne n'aurait l'idée de marchander ces tarifs. Sachez enfin que le boutiquier n'augmente pas le tarif en fonction de la nationalité de son client ! Le prix des transports en commun est également fixe et ne supporte aucun marchandage. Le dernier des principaux cas est le prix de l'unité dans les télécentres (il est en général affiché à l'entrée et oscille entre 70 et 100CFA l'unité).
En dehors de ces exemples précis, tout se marchande. C'est le cas principalement de l'artisanat touristique, des objets d'occasion, du prix des taxis, des fruits et légumes, des locations de pirogue, des vêtements, chaussures et objets de consommation (montres, radio, etc...). Même les loueurs de voitures qui ont pignon sur rue peuvent baisser leurs prix " officiels " ! Le prix d'une amende de police se marchande également. Le nouveau venu au Sénégal doit être au courant de tout cela car il est vrai que durant les premiers jours on a toujours la hantise de se faire plus ou moins arnaquer. Sachez donc que le Sénégalais n'appréhende pas vraiment le terme "arnaque" car il part du principe que le juste prix d'un bien est le prix que l'acheteur est prêt à donner. Si vous achetez donc une statuette 6000CFA alors que le client suivant la paiera 1000CFA c'est que le prix de 6000CFA vous satisfaisait. Ce raisonnement n'est d'ailleurs pas dénué de bon sens puisque finalement c'est la loi de l'offre et de la demande adaptée à la sénégalaise !
Photos : à gauche et à droite, des enseignes d'artisanat touristique à Fadiouth
Pour finir sur le marchandage, sachez qu'il faut finalement le considérer comme un jeu. Personnellement je n'aime pas marchander le prix d'un bien ou d'un service mais lorsque je passe deux mois d'affilée au Sénégal, mon emploi du temps me permet au contraire de m'amuser à marchander. LE GROS CONSEIL POUR LE MARCHANDAGE : DISCUTEZ LE PRIX AVEC UN COMMERÇANT ET LORSQU'IL NE VEUT PLUS BAISSER, DITES LUI QUE SON PRIX SEMBLE INTÉRESSANT MAIS QUE VOUS ALLEZ VOIR SI SES CONCURRENTS FONT MIEUX. ARRIVE CHEZ CES CONCURRENTS DÉBUTEZ LE MARCHANDAGE AU PRIX OU S'EST ARRÊTE LE PRÉCÉDENT. VOUS VERREZ LE SYSTÈME EST INFAILLIBLE ! ! !
La police, la gendarmerie et l'armée
Ces trois corps se distinguent facilement
les uns des autres. Physiquement par une tenue identifiable
: les militaires sont en vert ou en tenues camouflées,
les gendarmes sont en bleu et la police est en beige.
Leur niveau de corruption et de sympathie diffèrent
également beaucoup.
Les militaires sénégalais ne
sont pas corrompus du tout et attirent la sympathie.
Cela est peut-être dû au fait que leur majeure partie
est constituée de jeunes effectuant simplement leur
Service National. Ils vous aideront avec plaisir et
désintéressement et pourront vous être d'un précieux
conseil. Néanmoins, la disparition des 4 français en
1995 leur ayant apporté beaucoup de problèmes vous devrez
comprendre qu'en Casamance ils vous empêchent parfois
certains déplacements qu'ils jugent (souvent à
tort) dangereux.
>>> Voir
la page sur l'armée sénégalaise
Photos : à gauche un gendarme sénégalais, à droite un militaire motivé
Les gendarmes sont rares et vous en rencontrerez peu. Comme en France ils dépendent du ministère de la défense. Assez peu sympathiques ils sont parfois corrompus. Si vous voyez des Jeep bleues au bord des routes, ce sont la plupart du temps des gendarmes (leur uniforme est également bleu).
Les policiers enfin sont les plus désagréables
personnes qu'on peut rencontrer au Sénégal. Ils
sont extrêmement corrompus et en cas de problèmes et
pour ne pas passer plusieurs jours au poste, mieux vaut
faire preuve d'un grande diplomatie. Ils peuvent
également exercer en civil. Soyez toujours en règle
au niveau de vos papiers et ne vous énervez jamais!
Plusieurs choses à savoir cependant avec ces policiers
(et uniquement avec eux) : ne leur donnez jamais votre
passeport mais faites-les le consulter devant vous,
sauf en cas d'arrestation où par la force
des choses vous devrez leur donner tout objet en votre
possession. Et deuxième règle importante à Dakar et
en Casamance, si vous vous faîtes fouiller la nuit en
sortant d'un café ou d'un night-club (je vous
rassure ça n'arrive qu'une fois sur mille
!) vérifiez les mains de votre "fouilleur"
avant la fouille car nous avons entendu parler à deux
reprises de policiers mettant du cannabis dans les poches
de la personne fouillée pour ensuite l'accuser
de fumer !
MISE EN
GARDE : La justice sénégalaise
est reconnue internationalement comme expéditive
et n'importe qui peut se retrouver en prison sur
simple dénonciation. C'est devenu d'ailleurs
une grande mode au Sénégal. La technique
la plus répandue pour extorquer de l'argent
ou emmerder un voisin et de l'accuser de viol
ou même mieux de pédophilie. Sénégalais
comme étrangers en sont victimes CHAQUE
SEMAINE !!! Partant du principe "qu'il n'y
a pas de fumée sans feu" et que mieux
vaut dix innocents en prison qu'un coupable dehors,
les juges autant que les policiers et les milices
présidentielles s'en donnent à coeur
joie. Il est donc primordial pour ne pas se moisir
en prison "par erreur" de ne pas se
retrouver dans des situations pouvant prêter
à confusion. Chacun doit prendre garde
à ne jamais se retrouver seul avec des
enfants ou des mineurs (ces derniers sont parfois
utilisés par les parents, moults sénégalais
et étrangers se sont déjà
fait avoir)... |
Elles sont omniprésentes au Sénégal et font pour la plupart un travail précieux et constructif. Trois catégories d'ONGs se côtoient : les grandes ONGs de terrain principalement catholiques, les petites associations, et enfin les ONGs internationales. Chacune présente des intérêts et des inconvénients. La plupart des ONGs sont françaises. Quelques autres nationalités sont cependant à noter : le Peace Corps américain dont peu de monde voit l'intérêt (y compris les Sénégalais). Sous un prétexte de proximité ils doivent apprendre avant de venir la langue de l'ethnie dominante de la région dans laquelle ils vont transmettre leur savoir ! C'est justement un des problèmes qui causent les conflits ethniques en Afrique ! Grâce au français, à l'anglais et au portugais comme langue officielle des pays d'Afrique Noire, aucune ethnie n'a imposé sa langue comme langue officielle nationale. Ainsi même si la langue est étrangère elle assure une certaine égalité devant les institutions ! La volonté de ces jeunes du Peace Corps d'apprendre une langue dominante sur place est plus qu'absurde : elle est dangereuse ! Un exemple concret : au Sénégal Oriental, dans le village Bassari de Samécouta, les volontaires parlent à la population Bassari en Peulh car c'est la communauté prédominante dans la région. Les Bassaris déjà peu reconnus au niveau national ne se sentent qu'encore plus lésés ! D'autant plus que grâce aux missions catholiques, beaucoup parlent très bien le français ! Il y aurait également beaucoup à dire sur les monstres technocratiques de l'ONU : qu'il s'agisse de l'Unesco, de l'OMS, de l'UNICEF, etc... on les voit beaucoup à Dakar sur des autocollants placardés en grand sur les gros 4x4 climatisés. Des budgets pharaoniques disparaissent ainsi dans l'achat de voitures de luxe inutiles (l'ONU est le plus grand client mondial de Nissan !!!) et des fonctionnaires internationaux au parcours qui n'a rien d'exceptionnel perçoivent des salaires de ministre pour poser leur gros derche sur un siège à Dakar. Que ça fasse réfléchir les nombreux bénévoles qui en Europe vendent (ou achètent) les petites cartes postales de l'UNICEF : ces milliards récoltés passent dans l'achat des 4x4 et les salaires d'encravatés. Dans le même genre, même si c'est un peu plus transparent, des grandes ONG du type de la Croix Rouge, d'Action contre la Faim ou de Médecins du Monde qui placent les dons sur des SICAV monétaires (les tristes scandales des dons du tsunami doivent vous le rappeler) doivent être définitivement bannies de vos dons car là encore il s'agit d'un charity business condamnable qui faut faire cesser au plus vite. Heureusement, quelques "gros" tels que les Villages d'enfants SOS (pour les orphelins) ou la Fondation Raoul Follereau (pour les lépreux) ont une gestion plus humaine.
Beaucoup de petites ONGs et associations font un travail de terrain, désintéressé et efficace : tout simplement humain. Chez elles, il n'y a généralement pas de salariés et l'intégralité des dons et participations va aux actions locales même si parfois les projets sont discutables quant à leur intérêt ou leur efficacité. Par exemple des pères piaristes espagnols ont fondé des ONGs à Dakar, à Sokone dans le Saloum et en Casamance (Mlomp, Oussouye, Diembereng) et font un travail colossal depuis des années (notamment dans la formation des jeunes agriculteurs, la santé, etc...). "Chênes et Baobabs" à Nguékokh (près de Mbour) et bien d'autres associations (voir la page asso) oeuvrent au Sénégal depuis des lustres avec un succès rarement démenti.
La situation des guides au Sénégal semble s'améliorer avec la création de plusieurs licences et formations pour que ce métier en devienne véritablement un. Jusqu'ici, il ne s'agissait que de quelques jeunes qui tentaient à droite à gauche de gagner trois sous. De nombreuses arnaques ont d'ailleurs découragé de nombreux visiteurs. Ce n'est donc pas grâce à eux que vous allez visiter le pays. Le problème avec les guides c'est que vous pouvez tomber souvent sur le pire et beaucoup plus rarement sur le meilleur. Méfiez-vous surtout des cartes ou badges de guide "officiel" de telle ou telle organisation car vous aurez autant de problèmes avec eux qu'avec les autres (voir plus...). Dans tous les cas préférez si vous en avez réellement besoin des guides que des amis ou que votre hôtel vous auront conseillés. Surtout réglez dès le début le problème du prix. Si vous prenez un guide-traducteur (voir guide-traducteur-chauffeur) pour plusieurs jours posez-vous la question du logement et des repas : il est primordial de savoir qui paye quoi ! A titre indicatif, un guide pour visiter un lieu bien précis ne demandera pas plus de 2000 CFA. Si la visite dure une journée complète ne comptez pas plus de 5000 CFA (7,5€). Pour plusieurs jours tout dépendra des repas et du logement. Demandez-vous surtout si vous en avez réellement besoin (souvent les "guides" n'en savent pas plus que les touristes avec leur Lonely Planet !).
A notre avis, l'intérêt d'un guide est surtout de ne pas être emmerdé par les autres guides et antiquaires à deux balles qui ne viendront pas vous donner la migraine, ce qui au final est un avantage non négligeable. Si vous comptez faire des achats avec un guide en le laissant négocier soyez sûr de son honnêteté car la plupart du temps, un marchandage s'établit en Wolof avec le commerçant et le guide repassera en fin de journée prendre sa part de bénéfice chez le vendeur à qui il aura fait faire "une belle vente" aux dépens du touriste (ça n'arrive pas qu'au Sénégal, c'est très clair !). Ma très longue expérience me pousse à vous déconseiller les guides qui vous sollicitent. Le rasta, pantalon Baye Fall est à éliminer de tous vos choix (photo ci-contre à droite, voir également la page sur les grosses connes et les gros cons). Préférez les jeunes pas trop glandeur qui se serviront de leur salaire pour leurs études. A vous donc de juger. La solution que je choisis le plus souvent pour trouver un lieu que je recherche est de demander à un jeune habitant les environs de m'y guider. Une fois le lieu trouvé, la somme donnée ne sera pas un salaire mais bel et bien un échange de bons procédés correspondant au service rendu en fonction du temps et de l'argent économisé.
Quelques
petites annonces de guides dans les petites annonces
de Planete-Senegal.com
Voir
la page sur les gros(ses) con(ne)s
Le Sénégal est un pays à majorité musulmane. L'art populaire dans sa forme figurative est donc proscrit. Les seules oeuvres populaires que l'on pourrait qualifier d'artistiques sont d'inspiration ou d'utilité religieuse et on ne les trouve que dans les ethnies résiduelles du Sénégal oriental. En effet seul l'animisme est source d'art dans ce pays multi-ethnique. Partout néanmoins des échoppes exposent des objets dit "d'art" qui sont en fait des réalisation de bonne qualité mais qui sont l'oeuvre répétée mille fois d'artisans plus ou moins talentueux.
L'art populaire de la sculpture est inexistant. Seuls les masques religieux montrent une réelle création. C'est le cas des masques Bassaris, Tendas-Bandés, Coniaguis ou Malinkés.
On pourrait néanmoins citer comme artistes ces quelques créateurs qui réalisent des toiles dont les couleurs sont faites de toutes les nuances de sables du Sénégal. Ces toiles sont souvent d'une grande qualité et montrent un réel talent. Ces le cas également des sous-verres.
Enfin comment ne pas parler de ces innombrables apprentis-décorateurs qui grâce à leur peinture naïves décorent les façades de boutiques de paysages ou de portraits de Marabouts !
Si l'art dans sa forme populaire est proche du néant dans la société sénégalaise, bon nombre d'artistes bénéficient d'une renommée internationale dans plusieurs disciplines qui vont du cinéma à la peinture
Visitez la page culture pour voir différentes oeuvres d'artistes sénégalais prestigieux.
La
généralisation des produits industriels étant récente,
de nombreux objets d'utilisation quotidienne et
même la totalité en milieu rural sont des objets d'artisanat.
Les ustensiles de cuisine sont évidemment les plus fabriqués
par les artisans du pays. Ces ustensiles étant utilisés
chaque jour par les ménagères, ils sont de bons souvenirs
tout en étant utiles et bon marché. Vous trouverez ainsi
des couverts en tek, dessous de plat en bambou, saladiers
en courge vidée et séchée (photo à droite), mortiers
et pilons en fromager. Les outils de travail quotidien
des métiers traditionnels font aussi de très beaux objets
d'artisanat. Je pense particulièrement au kadiandou,
l'immense pelle longiligne qu'utilisent les Casamançais
pour cultiver les champs de riz. Mais l'artisanat passe
aussi par la teinture traditionnelle des tissus (Indigo
surtout pratiqué en Guinée), la fabrication d'instruments
de musique (djembés, dabars, etc...), la fabrication
de meubles et d'objets en bronze et de bijoux.
Voir
la page artisanat, avec les photos et la description
des objets d'artisanat les plus répandus
Voir
la page musique de Planete-Senegal.com avec les instruments
sénégalais
Vos contributions et commentaires sur le contenu de cette page
Nous vous recommandons notre guide dethie faye pour vos séjours au senegal. Il vient vous chercher à l aéroport de dakar et vous conduit vers la petite côte à prix raisonnable. Il vous fera également découvrir le vrai Sénégal,! La brousse, les bolongs, st louis, dakar, goree,... Vous pouvez le contacter au 00221 77 577 41 24. Yannick et Nicolas de Belgique
Bonjour, Je suie Martiniquais, gmerai échangé avec Sénégalais(e).Echange Culturel souhaité. Merci d'avance Guylou
nous sommes retraités et aimerions sejourner en basse casamance de Octobre à Mai est-ce possible pour un couple Francais,location à l'année, impôts etc....le coût de la vie. Merci
nous sommes retraites est voulons nous instaler au senegal prix de la vie au quotidien merci
je voudrais, savoir lagénéalogie de mon nom thiam.mreci pour votre recherche.
Par expérience, je peux contester l'affirmation concernant le comportement de certains boutiquiers qui n'hésitent pas à augmenter fortement le prix de leurs produits pour les toubabs.Certains insultent le client pensant qu'il ne comprend pas le wolof.heureusement ceci ne constituent pas la majorité de ces commerçants chez qui je me sers au quotidien.
J'adore l'artisanat sénégalais et ouest africain. D'ailleurs j'aimerai en faire du commerce d'ici quelques années! ouvrir un petit magasin à saint-louis et faire de l'exportation vers la france et l'europe.