

Sam�couta
sera une occasion de visiter l'un des rares villages s�n�galais habit�s en majorit�
par les Diarank�s, une communaut�
ethnique peu pr�sente au S�n�gal. Les villageois vous accueilleront
avec plaisir et le site est magnifique. C'est juste � la sortie du village,
dans la direction de Saraya, que la Gambie traverse la route sous un grand pont.
Quelques rapides gonflant durant la saison des pluies font la joie des enfants
qui s'y laissent d�valer. Nous vous d�conseillons d'en faire autant � cause
des risques de bilharziose entre autres maladies. Un
autre danger vient de toutes petites mouches noires vivant a proximit� des eaux
courantes qui vous mordent sans vous faire bien mal mais qui causent une grave
maladie appel�e la �c�cit� des rivi�res�. Ces mouches appel�es simulis
pondent de petits �ufs qui apr�s un longue p�riode d'incubation viendront se
loger dans vos yeux vous rendant ainsi aveugle. Cela dit �a se soigne
tr�s bien. A noter que Sam�couta est un des rares endroits o� ces insectes
vous emb�teront.
Photos : � droite, le pont de Sam�couta qui enjambe la Gambie et ci-dessous � gauche des cases de Sam�couta
La
rivi�re vous �merveillera par son c�t� sauvage. Les adolescents du village pourront,
surtout durant la saison des pluies, vous montrer des
hippopotames et des crocodiles
qui nagent dans les eaux calmes. Passer une soir�e autour d'un feu de bois en
discutant avec les villageois est vraiment un bonheur. Sachez, pour l'anecdote,
que la brousse autour de Sam�couta et jusqu'� la fronti�re malienne abrite quelques
lions. Pour aller � Samecouta, vous viendrez de K�dougou par la belle route
goudronn�e. Le trajet de 7km est plat et vous pourrez y aller � pied, en v�lo
et en de rares occasions en transport en commun dans les cars qui font le march�
hebdomadaire de Saraya.
Voir
des dizaines de photos de Sam�couta
Vos contributions et commentaires sur le contenu de cette page
Bonjour, C'est avec grand plaisir que je vois les photos de ce pont que nous avons construit avec les braves ouvriers de Kédougou, j'étais le conducteur des travaux de la société EGCAP de Dakar, trois années difficiles mais inoubliables. Amicalement Alain