Bulletin N°47 de Planete-Senegal.com
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Infos du Jour
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Location immobilière: La dure loi des courtiers
Ils sont les champions de l’informel…et de la spéculation. Pour rien au monde, ils n’iront se hasarder à ouvrir une agence immobilière en règle. Ce statut clandestin semble leur aller comme chaussette aux pieds dans la mesure où ils sont unanimes sur une chose : “ les ennuis commencent à partir du moment où l'on décide d'"officialiser" le métier. À partir de cet instant, suivent des taxes, impôts et rentes qu’il faut payer à l’Etat et qui sont lourds à porter ”. Telle est la rengaine que l’on entend habituellement chez ces courtiers qui opèrent à leur guise, aux quatre coins de la capitale.
“ Vous voyez ces vieux là-bas, près de cette boulangerie, ils sont tous courtiers. Très tôt le matin, ils rentrent chez eux vers midi pour revenir vers 17 heures, au “ grand place ”. Soyez prudents quand même, car certains d’entre eux, de fieffés roublards vous demandent des frais de déplacement pour vous montrer la maison de votre choix, une fois sur place, ils vous jouent leur petit cinéma en vous faisant croire que la maison (que vous trouverez occupée) a été vendue à quelqu’un à son insu ”. Cette mise en garde d’un habitant du quartier Golf Sud n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde.
Après quelques minutes de marche sous le soleil dans la direction indiquée, nous trouvons un groupe de vieux assis sur des nattes de raphia, à l’ombre d’un acacia. Ce sont de vieilles gens à la retraite qui ne s’adonnent pas pour autant au farniente. Ils se réunissent dans ces “ grands-places ” toute la journée pour deviser de tout et de rien mais aussi pour parler business, car l’immobilier, c’est aussi leur spécialité. Leur grand dada : dénicher des locaux, maisons ou appartements à vendre ou à louer pour les refiler à des acquéreurs moyennant un pourcentage en billets doux. Mais ici, chacun a son territoire…
B. K, courtier depuis plus d'une trentaine d'années s’empresse de nous renseigner, mais nous peinons à entendre ce qu’il dit à cause de la pollution sonore orchestrée par les voitures qui passent non loin de là. Un autre, à côté de lui, s’exclame : Vous voulez quoi ? Une maison, un appartement ? Je suis l’homme qu’il vous faut ”. Qui dit business dit aussi concurrence. Le vieux courtier Momar G. sort immédiatement un petit carnet de la poche de son kaftan. Là, il a inscrit toutes les maisons et appartements à vendre ou à louer dans le secteur.
Difficile dans ce fouillis de distinguer celles qui sont déjà vendues des autres. Il prend tout de même le temps de nous donner un aperçu du pâté de maisons qu’il a sous sa "tutelle". " Cette villa de grand standing se trouve aux Parcelles Assainies, Unité 20. Elle vaut 20 millions et comporte 4 pièces, deux salles de bains, une cuisine et un garage. Si elle ne vous intéresse pas, je peux vous en montrer d’autres, de grand ou moyen standing, pas chères du tout ”. On estime que la villa en question est trop chère. Il s’impatiente, un rictus sur le front, retourne le carnet dans tous les sens, fouille encore dans les poches de son kaftan, en ressort un autre petit carnet. “ L’autre est trop vieux, fait-il.
Tout ce qu’il y a dedans est soit vendu, soit loué ”. Les tarifs qu’on découvre dans celui qu’il nous montre sont tout aussi élevés et varient entre 40 et 100 millions de Fcfa , des villas en banlieue. La plupart ont un statut de bail, pour s’approprier le titre foncier, environs 300.000 pour avoir les documents en main ”, confesse –t-il. Nous ne sommes pas d’accord sur la plupart des prix, un autre vieux s’interpose : “ Dans tout le secteur, c’est ici que vous trouvez les courtiers les plus opérationnels. Tout ce qu’on vous a proposé est acceptable.
Ce n’est pas parce que c’est en banlieue que vous ne trouverez pas de belles villas, lance-t-il, cynique ”. Pour ces maisons à vendre, les intermédiaires s’en tirent avec une commission à échelle variable. Nous quittons les lieux pour aller voir du côté du centre-ville. Salif Diallo est le premier intermédiaire que nous rencontrons. Il a pignon sur l’avenue Bourguiba. Son bureau ? Un panneau à deux versants où sont mentionnés toutes les maisons et appartements à vendre ou à louer du périmètre. D'emblée, il nous fait savoir que les étrangers, en l'occurrence, les ressortissants étrangers, occidentaux ou africains, sont préférés aux autochtones pour la simple raison qu'" il est rare de voir un fonctionnaire sénégalais acheter une villa à plus de 20 millions cash.( ?…) On s’interroge sur la véracité de ces propos.
“ En plus, ils ont rarement des arriérés de loyer, les étrangers quand il s’agit de location ". Aux étrangers aussi qui veulent se trouver une planque le temps d’un séjour d’été, ces courtiers recommandent de choisir des sites pas très loin de l'aéroport, non loin du centre-ville pour des raisons de sécurité, de salubrité et de tranquillité.
Toujours est-il que cet intermédiaire qui se trouve entre le propriétaire et le locataire s’en tire avec des pourcentages de 20% sur le montant de la location, contre 5% pour celui de la vente. “ Il nous arrive de conseiller quelqu’un qui veut louer sa maison car parfois, il peut arriver que le montant qu’il propose ne cadre pas avec l’environnement ou l’état dans lequel on trouve la maison. Aux Hlm on peut trouver une villa à louer pour 75.000 Fcfa avec 3 chambres, un salon, une cuisine et des toilettes. On trouvera la même habitation à la Sicap Sacrée cœur pour 120.000 Fcfa et 100.000 Fcfa à la Sicap Liberté 6.
Avant de pouvoir visiter la maison de son choix, le client est tout de même obligé de verser la somme de 2.000F Cfa en guise de frais de déplacement. “ On est obligé de procéder ainsi parce qu’il arrive qu’on se déplace avec le client pour lui montrer un appartement dont il a déjà trouvé le prix abordable et une fois sur les lieux, il change d’avis après la petite visite guidée. Au moins, avec ces 2.000 Fcfa en poche, on n’aura pas perdu notre temps pour rien ”, se justifie A.S. Ndiaye.
Parfois, un propriétaire peut entreprendre de modifier la maison et une fois les travaux terminés, il peut faire monter les tarifs de la location dans les mois qui suivent. De 15.000 Fcfa, le prix d’une chambre peut passer à 18.000 ou 20.000 Fcfa. Certains locataires découragés finissent par abandonner leurs chambres… et s’exiler à des endroits plus reculés de la ville. “ Il devrait y avoir une loi très stricte dans le secteur de l’immobilier, laisse entendre I.Thiaw un gus qui a traîné son baluchon dans bon nombre de patelins, déménageant au gré de ses incartades avec les propriétaires qui, poursuit-il, agissent à leur guise puisqu’ils n’ont aucune crainte de poursuites judiciaires. I.Thiaw fait partie de ceux-là qui paient très cher le loyer sans compter avec les “ caprices des propriétaires qui n’ouvrent le compteur d’eau que le soir, quant à l’électricité , c’est un autre cauchemar… ”
Le Soleil
ZIGUINCHOR : Les fans de Ferdinand Coly organisent une caravane
A l’image des autres villes du Sénégal, la qualification des "Lions " aux quarts de finale de la coupe du monde a été saluée par une immense explosion de joie à Ziguinchor. Dès le coup de sifflet final de l’arbitre après le but en or de Henri Camara, les Ziguinchorois poussés par on ne sait quelle force extérieure sont sortis en masse pour fêter dans la joie et la ferveur populaire ce succès historique permettant aux "Lions " d’accéder à ce niveau de la compétition
Déferlant de tous les quartiers de Ziguinchor, drapés de Tee–shirts et de maillots à l’effigie des "Lions ", d’habits aux couleurs du Sénégal, les populations, dans un concert de klaxons, de chants et danses, ont convergé en masse vers la mythique Place de Gao, point de ralliement du jour, des milliers de " fêtards " de tous âges. A pied, à moto, à bord de camions, de taxis, de véhicules particuliers et même à dos d’âne, tous les moyens étaient bons pour parvenir à la Place de Gao. La veille du match, comme s’ils avaient pressenti la victoire, une puissante sonorisation distillait les tubes produits à la gloire des "Lions ". Il y avait aussi dans les décibels des sonorités musicales traditionnnelles. Ainsi, la place de Gao s’est révélée à l’occasion trop étroite pour accueillir cette foule hystérique et déchaînée qui arborait fièrement le drapeau national et entonnant à tue–tête les morceaux dédiés à l’équipe nationale.
Mais la grande nouveauté aura été la présence à Ziguinchor de populations de Bignona (ville d’origine de Ferdinand Coly) venues fêter à Ziguinchor la victoire. En effet, les " fans " du rasta, arrière latéral droit des "Lions " ont voulu, en organisant "la caravane de la victoire ", venir fêter en compagnie de leurs camarades de Ziguinchor la belle prestation des hommes de Metsu. Venus à bord de cars de transport en commun, ils ont pendant plus de deux heures, fait le tour de la ville en brandissant des portraits de leur idole, Ferdinand Coly. En fin de matinée, la caravane s’est ébranlée vers Bignona pour le retour. La fête devait s’y poursuivre jusqu’au petit matin.
Landing Diémé pour SUD Quotidien
LUTTE CONTRE LES ABUS SEXUELS : Les autorités et la société civile unissent leurs efforts
Le phénomène des abus sexuels prend de l'ampleur dans les zones balnéaires. Et l'ampleur du phénomène nourrit les craintes des pouvoirs publics et la société civile qui ont décidé d’unir leurs forces pour lutter contre ce fléau des temps modernes.
Les cas d’abus sexuels liés à l'inceste, au viol et à la pédophilie, s'étalent au quotidien dans la presse. Preuve que le fléau prend de l'ampleur au Sénégal. Les cas les plus édifiants de ces deux derniers mois sont, sans nul doute, le coup de filet de la police des mœurs qui a fait tomber le directeur général de la Société chimique industrielle sénégalaise (Sochim), M. Moncelon Marius, et un ressortissant français du nom de Christian Hollingor. Le premier nommé a été arrêté, en avril dernier, pour pédophilie et homosexualité sur des enfants mineurs. Dans la dernière décade de ce même mois, le ressortissant français Christian Hollingor a été interpellé à Saly pour cause de pédophilie par la brigade territoriale de Mbour.
Ces cas de pédophilie prennent davantage forme dans les hôtels, les auberges, les maisons closes et autres. L'ampleur du phénomène nourrit les craintes des pouvoirs publics. Ce qui fait dire à Sidy Mohamed Ndour, le directeur des Professions et Activités touristiques au ministère du Tourisme, "qu'il faut assainir le milieu". Pourtant, en 1996, les 122 gouvernements, Ong et autres entités réunis au congrès mondial sur les abus et l'exploitation sexuelle des enfants à Stockholm, s’étaient fixés deux objectifs, à savoir "l'adoption de plans d'action nationaux de lutte contre l'exploitation et les abus et l'identification de points focaux".
Aujourd'hui, des progrès ont été accomplis dans cette lutte même s'il reste beaucoup à faire. Cinquante-deux pays dont le Sénégal ont déjà élaboré leur plan d'action de lutte contre les abus et l'exploitation sexuelle des enfants (Aese). Notre pays a, en outre, mis en œuvre des programmes spécifiques de protection, à travers notamment le programme des enfants en situation difficile, le projet de lutte contre les pires formes de travail des enfants, le programme national de prise en charge des enfants en situation de risques, le programme Ipec et la ratification des conventions internationales de respect des droits de l'enfant. "Nous venons encore de valider le plan national d'action contre les abus et l'exploitation sexuelle des enfants. Des plans d'action seront validés dans cinq départements, dont Dakar, Mbour, Ziguinchor, Fatick et Saint-Louis pour cette année. Pour 2003, d'autres plans départementaux seront ciblés. L'atelier de sensibilisation entre le ministère du Tourisme, l'Unicef, le mouvement des entreprises du Sénégal et le ministère de la Famille et de la Petite enfance tenu le week-end dernier à Saly, entre dans le cadre des formes de lutte contre les Aese", souligne Aliou Cissé, le coordonnateur du projet de lutte contre les pires formes de travail des enfants.
A côté de l'action des pouvoirs publics, la société civile participe aux initiatives sous forme de plaidoyer, de recherche action, d'offres de services, d'investigation, de dénonciation, de campagne d'opinion etc. C'est le cas de l'Ong "Avenirs de l'enfant" basée à Rufisque. A en croire Moussa Sow, son coordonnateur, les actions de lutte sur le terrain sont perpétuelles. "Déjà en 1997, nous avons découvert des endroits où des enfants ont été abusés avec des témoignages poignants. Une plainte a été déposée depuis 1995 contre un abuseur mais sans suite. Aujourd'hui le mal prend de plus en plus de l'ampleur. Pour cette raison, nous multiplions les actions de terrain. Cette campagne porte ses fruits puisque des personnes saisissent l'Observatoire pour la protection des enfants contre les abus et l'exploitation sexuelle qui a été inauguré le 18 mars dernier à Mbour", avance M. Sow.
Le centre de guidance infantile (Cegid) s'emploie à lutter farouchement contre le phénomène dans la capitale du Nord. Un livret "Parler des abus sexuels aux enfants", conçu par le Cegid avec le soutien de l'Unicef, a été lancé à Saint-Louis au mois d'août dernier. Le Réseau des intervenants sociaux (Ris) fait aussi des activités de terrain dans cette ville.
Pour l'heure, les entités qui luttent contre les abus sexuels reconnaissent que rien ne vaut la méthode préventive par le biais d'une sensibilisation tous azimuts et d'un plaidoyer sans faille. Ce qui a favorisé la présence des imams au cours du séminaire de sensibilisation à Saly, le week-end dernier.
Walfadjiri
TRAVERSÉE DU TERRITOIRE GAMBIEN : Le calvaire au quotidien des voyageurs
TRAVERSÉE DE LA GAMBIE : La libre circulation des personnes et des biens n’est pas une réalité.
Pour aller d’un bout à l’autre des frontières gambiennes, le voyage relève d’un véritable calvaire. C’est pourtant l’épreuve quotidienne de nombreux Sénégalais qui empruntent la Transgambienne. Ils subissent avec amertume les affres de la police gambienne qui n’est décidément pas sur la même longueur d’onde que le président Jammeh, un des promoteurs de l’Union africaine.
Le président gambien Yaya Jammeh est, avec Me Wade et Khadafi, l’un des trois chefs d’Etat qui s’activent le plus pour la concrétisation de l’Union africaine. Mais tous ceux qui empruntent les routes cahoteuses de la Gambie, vous diront qu’entre le discours et la réalité, le fossé est fort large. Le mercredi 16 janvier, le lever du soleil nous a trouvé quelque part sur la Transgambienne. Derrière les vitres du véhicule, on aperçoit les gros arbres qui forment une haie tout au long de la route. Dans les nombreux villages qui longent la Transgambienne, les populations nous lancent de temps en temps des saluts amicaux. Par moments aussi, à un détour, une carcasse calcinée d’un véhicule attire l’attention des passagers. “C’est le fruit de la barbarie humaine”, commente un des passagers. “Ce sont les véhicules brûlés par les coupeurs de route”, ajoute un autre. Le décor est presque le même jusqu’à Sénoba, la dernière localité avant d’entrer en territoire gambien. C’est aussi le début du calvaire pour les voyageurs et surtout pour les automobilistes.
Pour traverser le territoire gambien, il faut être armé d’un grand courage et surtout ne jamais céder à la provocation. Dans toutes les villes et villages que traversent les véhicules sénégalais, la situation est la même et les complaintes sont partout ailleurs. Les policiers toujours “fort nerveux”, affirme un camionneur, “ne nous facilitent jamais la tâche”, se désole-t-il. Presque partout, le chauffeur est obligé de payer une taxe avant de passer. Le spectacle au niveau des chek-point est symptomatique de ce que vivent les automobilistes. Ils se livrent, en effet, à une course-poursuite pour arriver le premier devant les bureaux de la police de l’immigration ou devant la douane gambienne. “Nous sommes tous pressés de quitter la Gambie, car nous n’y avons pas la paix”, explique notre chauffeur.
Une petite dispute avec un agent de police peut vous coûter cher. Notre chauffeur en a fait l’amère expérience. Il a, en effet, été contraint de repartir jusqu’à Soma (une ville gambienne) où il devait payer une amende pour une banale infraction. Il a eu la mauvaise idée de stationner dans un endroit sans la permission du policier qui assure la fluidité de la circulation à Farafenni. Celui-ci n’a pas cherché de midi à 14 h pour sévir. Notre malheureux chauffeur, visiblement fâché, a failli tomber à la renverse. Pour calmer ses nerfs, il a traité le policier de tous les noms d’oiseaux.
Ce qui l’énerve le plus, c’est cette attitude des autorités gambiennes et le silence du Sénégal. “Souvent, avoue-t-il, nous avons l’impression que nous sommes abandonnés par notre pays qui devrait agir de la même sorte avec les automobilistes gambiens”. La libre circulation des biens et des personnes tant chantée par l’Uemoa et l’Union africaine est perçue par tous ceux qui empruntent la Transgambienne comme un rêve. Un rêve qui tarde à devenir réalité.
Abraham EHEMBA (Walfadjiri)
Planete-Senegal.com
Ca y est ! Personne ne s'y attendait. Ils continuent de surprendre. Les Lions de la Teranga gagnent matches sur matches ! On en parle déjà assez dans la presse, je ne vous ferais donc pas un commentaire sportif mais souhaitons à ces sportifs une réussite qui pourra n'en doutons pas donner confiance à la jeunesse du pays en leur montrant qu'il n'y à aucune fatalité. Espérons néanmoins que cette jeunesse n'en arrive pas à penser que ce n'est qu'avec le jeu et le football qu'on peut sortir de la misère. Un bémol tout de même. Tout le monde sait que la petite criminalité explose à Dakar et que les dakarois en souffrent quotidiennement. On ne doit excuser aucune faute sous prétexte de réussite. On a vu hélas, et vu de l'extérieur cela peut paraître anodin mais c'est gravissime tant les joueurs de l'équipe nationale sont devenus des symboles, de très nombreux sénégalais excuser le vol (reconnu d'ailleurs par ce dernier devant la vidéo l'accusant) sous prétexte qu'il ne s'agissait que d'un jeu et qu'un joueur gagnant plusieurs dizaines de milliers de francs par mois n'avait pas besoin de voler un bijou dans une bijouterie coréenne. Les jeunes sénégalais ne manqueront pas d'en prendre exemple et cela augure très mal de l'évolution de la délinquance dans les grandes villes du pays. N'en déplaise aux apôtres du "tout le monde il est beau et gentil", il fallait le souligner. Le football peut-être un outil de développement important pour un pays comme le Sénégal, tâchons qu'il ne soit pas l'inverse et souhaitons encore une fois bonne chance à tous les Lions (-1).
Senegalaisement continue parallèlement à cette Coupe du Monde agitée à faire sa mise à jour. Encore de nouvelles pages mises à jour et nouvellement illustrées et de nouvelles fonctions qui semble particulièrement plaire aux internautes.
--LES PETITES ANNONCES : Depuis hier, vous avez la possibilité de passer vous même automatiquement vos petites annonces illustrées sur le site. Usez et abuser de ce nouvel outil et n'hésitez pas à m'indiquer des rubriques éventuellement à ajouter. (Les petites annonces sont dispo à partir du menu interactif du haut).
--LES BILLETS D'AVION en partenariat avec Voldiscount : A partir de ce même menu interactif vous pouvez désormais acheter des billets d'avion vers le Sénégal grâce au partenariat que Voldiscount a souhaité établir avec Planete-Senegal.com. Essayez et comparez les prix !
--LES LIVRES en partenariat avec Amazon.fr : En outre, toujours en parlant de partenariat, vous pourrez remarquer que les paragraphes "bibliographie" de l'ensemble des pages de Planete-Senegal.com ont presque tous muté vers le partenariat Planete-Senegal.com-Amazon.fr. L'ensemble des bouquins et donc à nouveau disponible sur site en attendant la mise à jour de l'encyclopédie de la musique sénégalaise qui sera à nouveau mise en ligne d'ici quelques jours.
Rappel des nouveautés dispo depuis le dernier bulletin :
Les cartes postales virtuelles de Planete-Senegal.com avec de nouvelles cartes chaque jour et bientôt les plus belles photos envoyées par les internautes.
Les SMS sur les portables Alizé-Diamono du Sénégal !Si c'est possible (uniquement sur les mobiles du réseau de la Sonatel). Rendez-vous sur la page d'accueil du site Planete-Senegal.com et cliquez sur le carré vert clignotant "ENVOYEZ UN SMS". C'est gratuit et ça marche !
Le livre d'or du site !
La pétition contre le consulat de France est toujours d'actualité et chaque jour des internautes la signent. Si ce n'est pas encore fait, lisez vite les témoignages des victimes en cliquant sur le lien "PÉTITION CONTRE LE CONSULAT DE FRANCE" dispo sur la page d'accueil. En outre certains noms ont pu être effacés à cause de la panne du début d'année. Une bonne occasion donc pour récidiver !
Bonne nouvelle vous pourrez très bientôt retrouver un site internet dédié à Cuba d'où votre cher webmaster préféré vient de revenir. Pour les amoureux de l'île du Ché, vous pouvez voir un avant-goût du site en découvrant quelques photos prises il y a à peine quelques jours en cliquant ici. Dernière remarque à tous nos amis profs (qui constituent un tiers - hé oui - des internautes de Planete-Senegal.com) : finissez de lire ce bulletin et retournez bosser en étant indulgents avec les pauvres analphabètes qui vous ont infligé leurs lamentables copies d'examens.
Un autre document disponible sur Planete-Senegal.com en réponse aux nombreuses demandes (et après ça on va dire que je ne vous écoute pas....) : Le dossier complet de demande visa pour la France pour les citoyens Sénégalais (prix, formulaire officiel, pièces demandées, conseils etc...) : TELECHARGER au format ZIP
A bientôt sur planete-senegal.com et n'hésitez pas à participer à ce bulletin
ou à m'envoyer des petits mails sympa Une seule adresse :
Pour ceux qui voudrait m'aider : TOUTES LES BONNES VOLONTES SONT LES BIENVENUES car c'est un travail énorme. En période de pointe je reçoit près de 100 mails du monde entier dans la journée rien que pour Planete-Senegal.com !
Appel à photo (ter)! Je manque beaucoup de photos sur le Sénégal, la
Gambie et la Guinée-Bissau. Je suis un piètre photographe mais surtout je ne
prends plus de photos dans ces trois pays depuis que j'y suis chez moi. Tous
ceux qui aurait la gentillesse de m'envoyer leur photos (y'a pas de mauvaises
photos ou de mauvais sujets !) sur ces trois pays (je suis en train de faire
guinee-bissau.net et gambiennement.com, non non je ne blague pas !) peuvent
me les envoyer (au format jpg, maximum 150Ko la photo). Leur nom sera évidemment
marqué sur la photo. Un bon moyen de partager vos expérience ! Merci d'avance.
Christian
Messages des Senegaliens.
Le Forum de Senegalaisement
www.planete-senegal.com/forum/
Par Cécile le vendredi 12 avril 2002 - 14h28: |
Je suis ravie de revoir ce site dans lequel j'ai déjà 2 ou 3 fois participé au forum.
J'ai une question sur l'obtention du certificat de coutume que réclame la mairie pour un mariage avec un sénégalais ce qui est mon cas.
Je me suis adresser au Consulat du Sénégal à Paris et ce qui m'étonne c'est qu'il faut exactement les mêmes papiers que pour la dépose des bans à la mairie ( certificat médical prénuptial, certificat de naissance... ) et ce pour les deux futurs mariés.
N'est-il pas possible d'obtenir ce certificat depuis le Sénégal ? Ou s'adresser ? Les papiers à fournir seront-ils les mêmes et devrez-je être présente ?
Merci pour vos réponses et témoignages. Cécile
Foncez donc vite sur le Forum pour ré-alimenter la page et répondre à ces messages.
Les meilleurs messages paraissent dans cette lettre d'info envoyée à plus de 5000 internautes!
www.planete-senegal.com/forum/
La Météo
Venez découvrir la météo
de nouvelles villes (Cap Skirring, Dakar, Diourbel, Kaolack, Kédougou,
Kolda, Linguere, Matam, Podor, St-Louis, Tambacounda, Ziguinchor )
Aujourd'hui Saint-Louis
Mis à jour: 18:00 GMT le 17 juin 2002 observé à Saint Louis | |
Les températures | 28° C |
Index de chaleur | 31° C |
Humidité | 73% |
Point de saturation | 23° C |
Vent | Est à 20.9 km/h |
Pression | 1012 hPa |
Conditions météo | Partiellement nuageux |
Visibilité | 10 Kilomètres |
UV | 1 |
Température maximum d'hier | 31° C |
Visitez également la météo en direct complète des plus grandes villes du Sénégal sur
la page météo de www.planete-senegal.com
Infos diverses
-- Un nouveau site destinés aux passionnés de la plongée: celui du Nautilus à Dakar www.ifrance.com/nautilusdakar
-- Bonjour, je suis responsable de la communication de La Mutuelle Verte à Toulon et nous éditons chaque trimestre un magazine sur notre métier diffusé à 66000 exemplaires à tous les adhérents et aux professionnels de la santé. Chaque trimestre nous consacrons 3 pages à un pays, ce trimestre nous allons faire paraître un article sur le sénégal, je recherche des diapositives en prêt pour que nous puissions illustrer agréablement cet article. Vous pouvez voir nos magazines précedent sur notre site web : www.mutuelleverte.com (rubrique mags). Savez-vous ou puis-je m'adresser pour obtenir une prêt de quelques jours pour quelques diapositives. Merci d'avance. Salutations. Frédéric REA
Responsable Communication
-- Un nouvel hôtel-restaurant à La Somone ajouté à Planete-Senegal.com : www.martigua.com
-- Pour ceux qui n'ont pas encore visité le site dont on reparlera dans le prochain bulletin : http://www.AventuresAuthentiquesAfricaines.com
-- Festivals, évènements, maisons à louer, hébergement en famille, promotion, organisation de voyages, etc... cette rubrique est faîte par vous-même en fonction des mails que vous m'envoyez ! Pour le prochain bulletin, envoyez-moi vos infos avant vendredi prochain afin qu'elles figurent ici !
-- Bonjour de la Guadeloupe où je vis depuis 26 ans. Natif du Sénégal: Dakarois 'né en 48' j'y ai grandi (Rebeuss), fais mes études, démarré dans la vie active, marié à une Guadeloupéenne, mon fils y est aussi né en 72. Mon père est décédé en 1966, inhumé au cimetière de Bel Air, ainsi que mon frère aîné. Je recherche des renseignements sur le jetée ou digue de Gorée (date de la construction, les promoteurs, les réalisateurs...). Où trouver ces renseignements? Mon grand père maternel Angelo SQUASSONI (Scaphandrier y aurait contribué ?). Je vous remercie pour votre attention et diligence. Salutations au pays de la Terranga. Charles.Blonce
-- Pour ceux qui aime la pêche et la Casamance : http://perso.libertysurf.fr/kassoumay
Cette rubrique vous est consacrée. Si vous avez un message à passer n'hésitez pas à me le communiquer (qu'il soit de nature personnelle, commerciale, associative etc...)
L'Asso du jour
Minndiarabi
http://www.minndiarabi.com/
Minndiarabi : A la fois un groupe franco-sénégalais talentueux (voir les extraits MP3 ci-dessus à downloader et écouter absolument !). Allez voir le site où il décrivent en détail qui ils sont et ce qu'ils font. Vous pouvez d'ailleurs adhérer à leur souscription, ce que vous ne manquerez pas de faire après l'écoute de leurs morceaux. C'est extra et on ne peut que leur promettre le succès qu'ils méritent.
Association loi 1901 Minndiarabi (à but non lucratif), créée à La Rochelle le 29 avril 2002
Cette association à pour buts : La promotion de la musique métissée.
La lutte contre le racisme.
La sensibilisation et prévention des soins primaires de santé, apprentissage des gestes de premières urgences notamment en Casamance.
La sensibilisation à l'environnement avec les différents centres sociaux de La Rochelle (17) et les enfants de la Casamance.
Pour plus d'informations ou pour adhérer à l'association contactez-les...
MP3 : 01-Guentigui 02-Dabakh 03-Xalé 04-Jamako 05-Tara 06-Farafina
Visitez également la page "Associations" de www.planete-senegal.com
Si vous-même dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le Sénégal, n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail !
Le site du jour
Un vrai carnet de voyage par Laurent et Karine Fey
http://membres.lycos.fr/lfey/
Trop c'est trop ! Il y a trop de photos sur ce carnet de voyage (un vrai !) réalisé par Laurent et Karine ! C'est un vrai régal ! On peut suivre en détail le voyage les pérégrinations du couple infernal à travers le Sénégal. On avait oublié ce qu'était un carnet de voyage ! Le problème est résolu ! Du départ de Ouakam en passant par le bac de Foundiougne, les fêtes de Tabaski ou les routes cabossées vous pourrez grâce à ce site vous faire une idée claire de quel pourra être votre trajet. L'infographie est pas géniale et on pourrait se passer de la chanson MIDI de Bob quand on tente d'écouter les super morceaux MP3 de Minndiarabi (voir plus haut l'asso du jour !) mais ce pourquoi on vient est bien là et on ne demande pas de remboursement : les photos d'une aventure complète à travers le Sénégal durant plusieurs années ! C'est LE site à conseiller pour ceux qui ont la bonne idée de projeter un tour du pays à leur guise, à leur rythme et de manière totalement autonome. Allez-y, je vous assure ça Fey du bien. A bon entendeur... http://membres.lycos.fr/lfey/
Si vous avez fait un site parlant du Sénégal, et voulez le voir paraître dans cette rubrique, n'hésitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'êtes pas un webmaster chevronné (!) et voulez voir votre expérience publiée sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail vos textes et photos qui seront transformés en page web sur le serveur planete-senegal.com.
www.planete-senegal.com
bulletin 47/ juin 2002