Bulletin N° 42 de Planete-Senegal.com

1- Infos du jour (aujourd'hui le Soleil, l'AFP)

2 - Nouvelles de senegalaisement et des cours de wolof

3 - Les messages des sénégaliens

4- La météo du jour (aujourd'hui Dakar)

5- Infos diverses (Festival, Maison à louer, l'agenda, )

6- L'Association du Jour (ANTA)

7- Le site du jour (Nianing Santhie)

8 - Le chanteur du jour (Chorale de Casamance)

9- L'auteur du jour (Ousmane SEMBENE)

La Commission nationale
Parti de l'indépendance et du travail (PIT) : 10.854 voix (0,58 %) - 1 siège

Après l'accalmie de ces élections, il est bon de noter que le Sénégal compte plus de députés que de lycées, d'hôpitaux, d'universités, d'aéroports et de kilomètres d'autoroutes réunis (non, non, ce n'est pas une blague, c'est vrai).

La conférence épiscopale, qui réunit d’éminentes personnalités religieuses du Sénégal, de la Mauritanie, de la Guinée?Bissau et des Iles du Cap?Vert, a désavoué avec force, samedi dernier, lors d’un point de presse tenu à l'hôtel Kadiandoumagne, l'engagement de l'abbé Augustin Diamacoune Senghor au niveau du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance. “Nous comprenons qu'un prêtre s'engage pour le combat pour la justice et la Paix. Mais cela ne saurait être dans un parti politique encore moins dans un mouvement utilisant la lutte armée”, souligne le communiqué des évêques de la Conférence épiscopale. Les évêques des églises des quatre pays cités ci?dessus déplorent avec véhémence “le fait que le sang coule et continue de couler sur le sol de la Casamance et ils lancent un appel aux deux parties (le MFDC et l'Etat du Sénégal) pour se retrouver autour dune table de négociation en vue d'un dialogue et d’une écoute réciproque dans le sens de tout ce qui peut favoriser un retour définitif de la Paix”.
Dans la même lancée, les évêques, réunis à Sindone (département de Ziguinchor), exhortent le MFDC “à mettre fin à ses querelles internes et à s'ouvrir au dialogue. Aujourd’hui, nous l'encourageons à parler de Paix, mais aussi à œuvrer pour la Paix”. L'abbé Augustin Diamacoune Senghor, interrogé sur la question du désaveu de ses pairs sur son engagement auprès du MFDC a déclaré laisser les évêques dire ce qu'ils veulent. En ce qui le concerne, le prélat a souligné que Dieu le jugera. B.B.SANÉ (Le Soleil)

Inondations de Dakar et de sa banlieue : Et si le site était favorable ?
Abdoulaye Diop, étudiant à l’Institut des Sciences de la Terre (IST), soutenait la semaine dernière un mémoire de maîtrise sur le thème : “ Les déterminants géologiques, impacts urbanistiques et aménagement durable: Cas des inondations à Dakar et banlieue ”. Un travail que les membres du jury ont trouvé très intéressant à cause de l’approche de l’étudiant qui s’est appesanti sur l’influence des éléments physiques tout en ne perdant pas de vue l’inadéquation du système d’évacuation des eaux de ruissellement.
Il n’est nul besoin d’un événement pluviométrique exceptionnel pour que Dakar et sa banlieue soient inondées. La moindre précipitation peut mettre tout un quartier ou une agglomération sous les eaux. Avec des désagréments temporaires ou prolongés qui s’en suivent. Des désagréments qui vont du ralentissement de l’activité économique jusqu’aux nuisances de toutes sortes dont sont victimes les populations. Abdoulaye Diop, dans son étude, a répertorié 95 points inondables à travers Dakar et sa banlieue. Les principales raisons de ces inondations sont liées, avance t-il, soit à la nature du sol qui est sablo-argileux, soit à l’absence ou à l’incompétence du réseau d’égouts le plus souvent obstrué par des sédiments, des ordures, des cailloux ou des débris végétaux. Parfois, ce sont les deux phénomènes qui sont observés en même temps. La raréfaction des terres à usage d’habitat a entraîné un rush vers des terres non aménagées et particulièrement favorables à une longue stagnation d’eaux de pluie. Parfois pendant des mois.
La nature du sol et l’état du réseau d’assainissement constituent donc les principaux facteurs de stagnation des eaux dans la capitale. En effet, les techniciens sont unanimes à constater avec M. Diop, une baisse de la fréquence des points inondés avec l’augmentation des altitudes. Ce qui veut dire en clair que les points bas de la ville sont les plus exposés. Et ils sont nombreux. Car le relief de la ville n’est pas uniformément plat. L’eau circulant par gravitation des points hauts vers les points bas, c’est donc tout naturellement qu’elle s’accumule sur ces endroits. Si elle trouve un sol imperméable, la durée de la stagnation n’en devient que plus longue. C’est au même constat qu’est arrivé Abdoulaye Diop dans son étude. Les résultats de ses enquêtes révèlent que plus de 60 % des sols inondés sont sablo-argileux à argilo-sableux ou latéritique. Des sols réputés trop imperméables. Si le réseau d’assainissement est absent ou non fonctionnel, cela ne contribuera qu’à augmenter la durée du séjour de l’eau.
Or, Abdoulaye Diop a remarqué dans son travail que les regards des égouts sont non fonctionnels à 79 %. D’autre part, 13 % des égouts inspectés ont perdu leurs grilles. Pire encore, 60 % des points inondés se trouvent dans des zones dépourvues de réseau de drainage d’eaux pluviales. La position géographique de beaucoup de quartiers les expose également à des inondations. C’est ainsi que M. Diop estime à 52 % le nombre de points inondés qui se trouvent dans des zones à nappes superficielles suivies des zones à nappes profondes et des zones à nappes affleurantes. Toutes ses zones ont particularité de ne pouvoir absorber toute l’eau qui converge vers leur surface et de retenir par conséquent de l’eau longtemps après la fin même de l’hivernage.
Même s’ils contribuent tous à l’inondation dans beaucoup de quartiers, la topographie, le sol, le réseau et l’hydrologie ne jouent pas le même rôle déterminant. S’il est incontestable que la topographie influe sur le sens de l’écoulement de l’eau des points les plus élevés vers les plus bas, il faut une véritable corrélation entre les autres facteurs pour que leurs actions soient des plus nuisibles.
A côté de ses facteurs “ naturels ”, l’action anthropique n’est pas non plus à négliger. Et M. Diop n’a pas oublié de le souligner dans son mémoire. “ L’urbanisation entraîne la perméabilisation de Dakar à 80 % avec comme conséquence la baisse de l’infiltration et l’augmentation du ruissellement ”, conclut-il. Les aménagements urbains comme les routes ne sont pas aussi exempts de reproches. Surtout si elles sont mal exécutées. D’ailleurs, les routes constituent, selon M. Diop, des zones de ruissellement préférentielles. “ Mais si elles ne disposent pas de drains et de regards qui permettent de limiter le temps de contact entre l’eau et la chaussée, on assiste alors à leur dégradation rapide ”, remarque t-il.
Pour améliorer le cadre de vie des populations, M. Diop propose entre autres solutions le redimensionnement de tout le réseau d’assainissement de Dakar ainsi que l’amélioration de l’entretien et la surveillance des canaux pour une limitation des éléments solides qui arrivent dans les canaux. Il conseille également d’éviter de construire dans les secteurs à nappes affleurantes. Seul moyen pour lui de sortir Dakar et sa banlieue de l’eau.
ALIOU BA (Le Soleil)

Les travailleurs de la société Dakar-Dem-Dikk (Ddd) ont célébré avant hier, samedi 1er décembre 2001, le premier anniversaire de la naissance de leur entreprise. C'est sous la haute surveillance de la gendarmerie nationale qui avait pris d'assaut dès les premières de la matinée les abords et l'enceinte du dépôt de l'ex-Sotrac où il fallait montrer patte blanche pour y accéder, que le chef de l'État, Me Abdoulaye Wade, a présidé cette manifestation.
"Cette journée est celle de l'engagement qui consacre la réussite d'un pari gagné, car Dakar-Dem-Dikk" est aujourd'hui une fierté pour les usagers," a déclaré le président de la République, Me Abdoulaye Wade. Répondant aux travailleurs qui font de lui le messie qui a réconcilié les usagers qui ne savaient plus avec quel moyen de locomotion se déplacer et le transport public grâce à son ingénieuse idée de création de Dakar-Dem-Dikk sur les cendres de l'ex-Sotrac, Me Wade dira que "toutes les ressources humaines et financières étaient là, il ne manquait qu'une idée et un engagement politique et c'est cela que j'ai apporté dans la mise en place de cette société". Il ajoute en outre que le succès de Dakar-Dem-Dikk est déjà connu un peu partout en Afrique. Et de révéler qu'il a été d'ailleurs approché par certains chefs d'État qui lui ont demandé de leur envoyer des techniciens pour les aider à monter des sociétés de transport public à l'image de "Ddd". "Avec des idées et des engagements, on peut toujours trouver des solutions aux problèmes qui se posent", a-t-il souligné. Le Chef de l'État fait remarquer que "notre stratégie de développement repose sur les infrastructures de transport". C'est ce qui explique d'ailleurs selon lui, que celle-ci se situe en bonne place dans le plan Oméga. Il a révélé que de grands chantiers routiers sont en vue. "Bientôt, les cars rapides, les taxis et les bus, porteront la marque "made in Sénégal", tout en réitérant son ambition de construction d'un chemin de fer à grand écartement qui va traverser toute l'Afrique. Et de conclure sous le vivat des transporteurs, tous acquis à sa cause, "qu'avec de l'imagination, la création et la bonne volonté, nous pouvons faire beaucoup de choses".
Auparavant, Khalifa Guèye, président du syndicat des travailleurs de "Dakar-Dem-Dikk" a dressé le bilan de la société après une année d'exercice. C'est ainsi qu'il révèle que de 42 bus au départ, la société est passée à 250 bus alors que le nombre d' employés est passé de 550 à 950 dont 24 femmes alors que les 65% de ce personnel sont constitués par les agents de l'ex-Sotrac. Khalifa Guèye souligne également que Dakar-Dem-Dikk a transporté durant le mois d'octobre quelques 1.914.878 passagers pour un total de 12.500.000 de passagers depuis sa création dont 67.747 agents de la police et de la gendarmerie transportés gratuitement. Les recettes jusqu'à ce jour s'élèvent selon lui à 2.036.356.812 F Cfa, alors que la masse salariale mensuelle est estimée à 145 millions de nos francs. le président du syndicat des travailleurs de Dakar-Dem-Dikk souligne qu'il y a quelques difficultés qui assombrissent le tableau de "Ddd". il s'agit entre autres, de la restructuration du capital de la société qui tarde à être effectuée, l'acquisition de terrains et de logements pour les travailleurs, l'accélération de la liquidation de la Sotrac et la réintégration de leurs deux camarades qui ont été licenciés par la direction.Ismaïla SARRE (Sud Quotidien)

Le "Forum national sur le statut de l'artiste" qui s'est tenu le samedi 1er décembre 2001 au Métissacana, a été l'occasion pour les artistes de discuter entre eux des problèmes qui les empêchent de mener une "existence d'artistes normale". De nombreuses questions ont ainsi été débattues (lire par ailleurs) exceptées celle qui, de notre point de vue, est centrale: l'éthique. Consciemment éludée ou pas, on aura noté que personne n'a en pipé mot, si ce n'est Amadou Tidiane Wone, le ministre de tutelle. Pourtant, ils sont légion ceux qui, de par leur attitude, n'honorent pas la culture pour laquelle ils prétendent agir. Tenez: on ne les compte plus les artistes qui se livrent à un trafic effréné de visas, au point d'être persona non grata dans le milieu des représentations diplomatiques au Sénégal et ailleurs. Et que dire de ceux qui organisent des "sabars" pour prostituées dans les bars les plus repoussants de la capitale? Les uns et les autres, étaient parmi les plus en vue au forum du Métissacana. Le discours du ministre qui a fait référence à quelques aspects de ces "travers artistiques", a douché plus d'un. Contrairement à ce que croient certains artistes, la considération ça ne s'exige pas. On se l'assure par une éthique et une morale de comportement. Cela dit, dans la perspective d'un contexte social artistique "sain", il est vain de poser des exigences sans enjeu de cet ordre. Tant il est vrai que le choix éthique, pensons nous, préside à tous les autres choix. Et ici, sa place dépend de la conception que les artistes se font de la culture.
Par ailleurs, nombreux sont ceux qui sont intervenus lors de ce forum en conjuguant à la première personne, pour souligner qu'ils n'auraient rien reçu du "Fonds de promotion à la culture". "Structurez vous pour présenter des projets culturels forts et fiables", leur a rétorqué Amadou Tidiane Wone. Du coup, la nouvelle démarche pour une politique culturelle conséquente vaudrait rompre avec la camaraderie, l'amateurisme et l'informel. Vivement! Et nous souhaitons que les autorités culturelles se situent uniquement au niveau des enjeux qui soulèvent des questions transcendant les visées égoïstes. Enfin, les artistes doivent le savoir: on ne peut pas construire une alternative culturelle crédible sur l'irresponsabilité des acteurs.

Vous l'attendiez tous ! Voici le dernier bulletin de Planete-Senegal.com. Après de nombreuses semaines d'arrêt suite notamment à un vol d'ordinateur (je suis de mauvaise fois, c'est moi qui l'ai oublié dans un café !) et à deux voyages de mise à jour (je viens de rentrer du soleil ...), moi-même et les différents intervenants de Planete-Senegal.com sommes très heureux de vous retrouver. Merci à tous pour vos mails d'encouragement !
De nouvelles pages vous attendent (surtout à partir de samedi prochain même si une dizaine ont déjà été mises on-line), de nouvelles photos sont insérées, les pages ont été mises à jour avec de nouvelles données géographiques, sociologiques, politiques et touristiques.
Des hôtels sont fermés, des ministres sont partis, des villes se sont développées ces 3 ou 4 derniers mois et il fallait donc faire un peu de ménage.
Ceci est fait ! Vous pourrez également vous rendre sur Guinee-bissau.net qui est en pleine mise à jour également avec de nombreuses nouvelles photos de Bissau et dans les jours qui viennent de photos des îles Bijagos et de Cacine. J'attends vos mails à tous (et surtout à ceux qui s'inquiétaient du silence de Planete-Senegal.com) pour me raconter un peu vos derniers voyages et les faire partager à tous. Envoyer moi vos bons plans et vos meilleures photos pour les publier sur Planete-Senegal.com. A très bientôt.

Mon avis : le Sénégal et la Belgique.
Français je suis né Français je mourrais. Depuis plusieurs années que j'ai la chance d'arpenter l'Afrique et particulièrement le Sénégal j'ai pu m'apercevoir de certains détails concernant les Belges et les Français et leur rapports au Sénégal, qu'ils soient touristes ou résidents. Parlons des hôtels. Les Belges comme les Français se sont beaucoup investis dans le tourisme : le Via-Via à Dakar, l'Oasis à Saint-Louis, le Bentenier à Nianing, etc.... en sont des exemples parmi d'autres. Or, ces hôtels sont pour la plupart plébiscités par les touristes pour l'accueil chaleureux et professionnel des propriétaires. Chacun dans sa catégorie, chacun dans sa région, les hôtels tenus par des Belges raflent la palme de la sympathie, du bouche à oreille... et du nombre de retours. Que dire également des touristes Belges qui dans leur immense majorité ont un comportement exemplaire vis-à-vis des traditions du Sénégal et sont ma foi des camarades de route on ne peut plus amicaux et bon vivants. Hé oui, j'aime les Belges ! Une dose d'humanité dans un tourisme sénégalais dominé par l'arrogance française qui est souvent bel et bien réelle. Alors un conseil : bruxellisez votre hébergement au Sénégal (sans toutefois compter sur le chocolat et les moules-frites !)

Un autre document disponible sur Planete-Senegal.com en réponse aux nombreuses demandes (et après ça on va dire que je ne vous écoute pas....) : Le dossier complet de demande visa pour la France pour les citoyens Sénégalais (prix, formulaire officiel, pièces demandées, conseils etc...) : TELECHARGER au format ZIP

A bientôt sur planete-senegal.com et n'hésitez pas à participer à ce bulletin ou à m'envoyer des petits mails sympa
Pour ceux qui voudrait m'aider : TOUTES LES BONNES VOLONTES SONT LES BIENVENUES car c'est un travail énorme. En période de pointe je reçoit près de 100 mails du monde entier dans la journée rien que pour Planete-Senegal.com !
Appel à photo (ter)! Je manque beaucoup de photos sur le Sénégal, la Gambie et la Guinée-Bissau. Je suis un piètre photographe mais surtout je ne prends plus de photos dans ces trois pays depuis que j'y suis chez moi. Tous ceux qui aurait la gentillesse de m'envoyer leur photos (y'a pas de mauvaises photos ou de mauvais sujets !) sur ces trois pays (je suis en train de faire guinee-bissau.net et gambiennement.com, non non je ne blague pas !) peuvent me les envoyer (au format jpg, maximum 150Ko la photo). Leur nom sera évidemment marqué sur la photo. Un bon moyen de partager vos expérience ! Merci d'avance. Christian

Madame, Monsieur,
Directeur d'école à Roubaix, en France, je vais bientôt débuter une correspondance scolaire avec des élèves de Thiès.
Afin d'apporter diverses informations à mes élèves, est-il possible de recevoir des brochures sur la géographie, culture... du Sénégal ? Mes élèves pourraient alors manipuler des documents et apprendre avec un support motivant.
Merci.
PS : Dans le cas d'une réponse positive, connaissez-vous un site où je pourrais lancer la même requête.
Ecole Victor Hugo
130 rue des Arts
59100 Roubaix - France.

SALUT JE M APELLE MASSIRE SIBY
J AI 23ANS J' HABITE A PARIS. JE VEUS COMINIQUER AVEC DES SENEGALAIS ET DES SENEGALAISES. DE TOUT SUJET POSSIBLE. MON ADRESSE DE NET ET MASSIRE@AOL.COM.
Je suis moi aussi SENEGALAIS né à DAKAR ma grand mère est SENEGALAISE.
Je vous remercie d'avance et vous souhaite bonne journée. Jattend rapidement une réponse.
Merci à bientôt.

Bonjour ! Je travaille dans une agence de pub belge et....j'aurais très envie de m'exporter au Sénégal. Quelqu'un peut-il me dire s'il y a un marché existant ou potentiel ? Je suis fatigué par le capitalisme européen et par le manque de relations humaines.
Si vous n'en savez rien mais que vous avez envie de me glisser un petit bonjour ou une idée ou.....Merci, merci et encore merci !
Yves

Foncez donc vite sur le Forum pour ré-alimenter la page et répondre à ces messages.
Les meilleurs messages paraissent dans cette lettre d'info envoyée à plus de 5000 internautes!
www.planete-senegal.com/forum/

Venez découvrir la météo
de nouvelles villes (Cap Skirring, Dakar, Diourbel, Kaolack, Kédougou,
Kolda, Linguere, Matam, Podor, St-Louis, Tambacounda, Ziguinchor )
Aujourd'hui Dakar

Mis à jour: 21:00 (heure locale) le 3décembre 2001 observé à Dakar, Sénégal
Les températures	22° C
Humidité	71%
Point de saturation	16° C
Vent	Nord-Est à 9.7 km/h
Pression	1012 hPa
Conditions météo	Clair
Visibilité	7 Kilomètres
Lever du soleil	07:21
Coucher du soleil	18:39
Lever de la lune	21:20
Coucher de la lune	09:45

Visitez également la météo en direct complète des plus grandes villes du Sénégal sur
la page météo de www.planete-senegal.com

= Deuxième édition du festival "1, 2, 3 musiqueS" : Un, deux, trois…. Comme trois jours de notes chaudes et colorées. Musiques avec un grand S pour bien marquer la pluralité de la programmation proposée. 1, 2, 3 musiqueS c'est le premier grand rendez-vous de Saint Louis avec les musiques du monde… C'est à Saint Louis parce que la cité est classée au Patrimoine Mondial par l'UNESCO et qu'à ce titre elle fait partie des sites de " valeur universelle exceptionnelle " et constitue un écrin sans égal pour de telles manifestations.Le Festival 1, 2, 3 musiqueS se tiendra donc à Saint Louis les 21, 22, 23 février au Flamingo, sur les rives du fleuve Sénégal. Une bonne occasion pour programmer un voyage à Saint-Louis ou simplement un petit détour si vous résidez ailleurs au Sénégal.

= Le Festival Casamançais d'Abéné, une des plus grandes manifestations de l'année va se dérouler dans le petit village d'Abéné au bord de sa plage de rêve DU 24 DECEMBRE 2001 AU 02 JANVIER 2002. Ne vous posez plus la question de savoir où vous allez passer les fêtes !!! Groupe Ucas, Orchestre Casaçais - Ilan Mané avec Groupe Calone, Percussion Caroninké - Black Sofa, Percussions et danses acrobatiques Ouest-Africaines - Keba Roumba, Percussion aux congas Africains - Ballet Kute Diombulu, Percussions et danses Ouest-Africaines - Djiambantang de Kafountine, Théâtre, danse et chant traditionelle - Troupe théâtrale de Bandjikaki, Groupe de théâtre traditionnel travaillant sur des thèmes précis - La Forêt Sacrée, Percussion et danse Casamançaises et Ouest-Africaine - Ballet Bitiniba, Percussion, danse et sketches - Diambadong, etc...Stages de danse et percussion par Malo Sonko, Amy Camara e.a. Comité d’Organisation du Festival, 02-99-39-34-26 (France) / + 221 936 95 42 (Sénégal) / www.alnaniking.co.uk

Cette rubrique vous est consacrée. Si vous avez un message à passer n'hésitez pas à me le communiquer (qu'il soit de nature personnelle, commerciale, associative etc...)

ANTA est le prénom d'une petite fille sénégalaise agée aujourd'hui de 5 ans.C'est également une association d'action humanitaire, régie par la loi 1901.

Nos domaines d'interventions sont principalement l'agriculture, l'éducation et l'assistance médicale.
Toutes les actions menées sur le terrain sont assurés par des membres d' ANTA qui se rendent eux-mêmes sur place.
La première mission sur le terrain débutera en Novembre 2001 au Sénégal.
ANTA est une association constituée d'une poignée d'hommes et de femmes partageants la même volonté : refuser l'indifférence.
Son objectif est d'apporter une aide concrète dans les villages africains....

www.anta.ht.st

Visitez également la page "Associations" de www.planete-senegal.com
Si vous-même dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le Sénégal, n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail !

Si vous avez fait un site parlant du Sénégal, et voulez le voir paraître dans cette rubrique, n'hésitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'êtes pas un webmaster chevronné (!) et voulez voir votre expérience publiée sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail (webmaster@planete-senegal.com) vos textes et photos qui seront transformés en page web sur le serveur planete-senegal.com.