Bulletin N°17 de Planete-Senegal.com

1- Infos du jour (aujourd'hui Sud, le Soleil, l'AFP )
2 - Nouvelles de senegalaisement et des cours de wolof
3 - Les messages des sénégaliens (vous êtes bien des sénégaliens non ?)
4- La météo du jour (aujourd'hui Ziguinchor)
5- Infos diverses (L'agenda, Africultures)
6- L'Association du Jour (L'Institut Pasteur de Dakar)
7- Le site du jour (L'Institut Pasteur de Dakar)


1) Infos du Jour
(les articles entiers sont disponibles sur la page
Infos/médias de www.planete-senegal.com)

1- Un trafic international de drogue démantelé à Dakar
2- Le Blocus économique de la Guinée-Bissau : un conflit avec le Sénégal
3- Une confirmation : la plus belle fille du Sénégal est Casamançaise
4- Le artistes sénégalais accablés de taxes

1- Un trafic international de drogue démantelé à Dakar:
Saisie record de drogue au Port de Dakar Le conteneur de jeans renfermait cinq tonnes de résine de cannabis Cinq tonnes et trois cent quatre-vingt-dix kilos de résine de cannabis ont été saisis le jeudi 27 juillet dernier au Port autonome de Dakar. La valeur totale de cette drogue a été estimée à vingt-six milliards neuf cent cinquante millions CFA, selon une source bien informée que nous avons jointe hier. D'après cette même source, cette saisie est la plus importante jamais réalisée dans l'histoire sénégalaise de la lutte contre la drogue. La "marchandise" était dissimulée dans un grand conteneur de quarante pieds censé renfermer des pantalons jeans. En fait, la drogue était camouflée dans des plaquettes elles-mêmes cachées dans dix-neuf mille jeans. Mais la supercherie n'a pas échappé aux douaniers du Port autonome de Dakar. Le conteneur venait du Maroc et devait simplement transiter par Dakar. Selon les spécialistes de la lutte anti-drogue, les résines de cannabis du Maroc et du Népal font partie des produits les plus prisés par les consommateurs. D'ailleurs, tout semble indiquer que cette drogue était destinée au marché occidental car son prix élevé (un seul gramme coûte cinq mille francs CFA) est hors de portée des accros sénégalais. La "marchandise" appartiendrait à un GIE (Groupement d'intérêt économique) de Sénégalais et d'étrangers ayant pignon sur rue à Dakar. Quelques personnes impliquées dans cette affaire (partie pour être retentissante) ont été arrêtées et sont actuellement aux mains des gendarmes. Parmi ces suspects, figurent un homme et sa sœur, appartenant tous deux à une famille dakaroise bien connue. D'autres personnes impliquées sont en fuite, mais activement recherchées. L'enquête diligentée pourrait faire tomber de gros caïds du milieu et même réserver des surprises et complicités insoupçonnées. Cette affaire peut être considérée comme un cas patent de blanchiment d'argent sale sous le couvert d'une société écran. Dans son dernier rapport rendu public le 20 avril dernier à Paris, l'Observatoire géopolitique de la drogue (OGD) souligne à ce titre que "la mondialisation des flux financiers profite largement au blanchiment de l'argent issu des trafics et à son corollaire, la criminalisation de la politique". Le trafic international de drogue prend de plus en plus d'ampleur et bénéficie ainsi des "opportunités" de cette mondialisation. Dans ce rapport, il est également noté que l'espace Schengen de l'Union européenne est devenu le plus important marché de la planète et que l'Espagne est la porte des trafics en Europe. Dans ce pays a été opérée l'année dernière la plus importante saisie d'héroïne en Europe, soit quatre cent cinquante kilos. Dans la même année, plus de dix tonnes de cocaïne avaient été découvertes dans un bateau en partance pour les côtes de Galice. Certains pays tirent une bonne partie de leurs ressources du trafic de la drogue. Vers la fin des années 90, il a été estimé que la Bolivie a obtenu un milliard de dollars (600 milliards CFA) des retombées de la drogue, soit le huitième de son produit intérieur brut! En Afghanistan, la production d'opium a été littéralement… dopée : elle est passée de deux mille deux cents tonnes en 1998 à quatre mille six cents tonnes en 1999. Au Sénégal, les actions menées par les services de la Douane et par l'Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) accouchent de bons résultats. Le 26 juin dernier, plus de deux tonnes de drogues (héroïne, cocaïne, cannabis, barbituriques…) avaient été incinérées aux Mamelles en présence du général Mamadou Niang, ministre de l'Intérieur. Il avait, à cette occasion, préconisé "le renforcement des moyens de lutte et une adaptation quotidienne aux méthodes de dissimulation utilisées par les passeurs, les trafiquants et les usagers". Il avait également déclaré que l'objectif de cette lutte vise particulièrement à protéger une jeunesse vulnérable, et souvent naïve, des méfaits de la drogue. La saisie du jeudi 27 juillet dernier, même si elle constitue un record, ne fait cependant pas oublier celles des années passées. En décembre dernier, deux cent douze tonnes de chanvre indien avaient été découvertes à Boune, en banlieue dakaroise. Dans le même mois, trente kilogrammes d'héroïne étaient saisis par les éléments de l'OCRTIS. En juillet 1997, ce sont cinq cents kilogrammes de cannabis dissimulés dans dix-sept colis qui étaient saisis au Port de Dakar. La fameuse marchandise, filée depuis la Grande-Bretagne, venait de Colombie et était destinée à la Sierra Léone. Modou Mamoune Faye Blanchiment d’argent sale De source généralement bien informée, le montant de cette prise encore jamais réalisée au Sénégal en matière de drogue, 27 milliards environ, indiquerait le cas type de la tentative de blanchiment d’argent sale. Et, il se trouverait même que le présumé complice sénégalais des trafiquants internationaux, de nationalité allemande eux, ne saurait dépasser le grade d’un vulgaire comparse, à la limite abusé dans sa bonne foi. Voire. Selon toujours nos sources, 250 colis de 15 kg chacun ont été retrouvés dans le conteneur aux jeans. Le jeune Sénégalais, qui serait donc partenaire commercial des Allemands, recevait la marchandise, à savoir les pantalons jeans, par le canal d’une société appartenant à sa sœur. L’envoi était fait par conteneur à partir des Etats-Unis, selon nos informateurs. La marchandise transitait par le Maroc, et arrivait au Sénégal qui pourrait même, en la circonstance, n’être lui aussi qu’un simple lieu de transit. Lorsque le conteneur arriva au port de Dakar, d’après nos sources toujours, le jeune Sénégalais présumé complice des trafiquants, se vit dire par les services compétents qu’il fallait payer une certaine taxe additive parce qu’il n’y avait pas seulement que des pantalons, mais peut-être des cigarettes aussi. Lorsqu’il se présenta aux services des Douanes du Port de Dakar afin de payer la note, il sera épinglé. L’un des deux Allemands, présumés complices et établis à Dakar,(marié même à une Sénégalaise), s’enfuira dans un pays voisin avec sa douce moitié. Le second pourra être pris par les enquêteurs grâce à des informations provenant du milieu. Ainsi donc, la justice détient 3 présumés complices du trafiquant Carlos : le Sénégalais, sa sœur à qui appartiendrait la société à laquelle était destinée les jeans et donc la drogue, et le second Allemand. L’enquête se poursuit, et tout indiquerait une véritable affaire de blanchiment d’argent sale, car les Allemands, qui voulaient semble-t-il faire de l’exportation de noix de cajou et de niébé, en plus de l’importation de jeans, ne seraient en réalité que des trafiquants de drogue de haute voltige. Personnages d’ailleurs qui n’utiliseraient le Sénégal que comme lieu de transit, parce que ce pays produisant du yamba déjà, l’on verrait mal qu’il ait un si grand besoin d’une telle quantité de résine de cannabis.
I. M. Mboup (Le Soleil)

2- Le Blocus économique de la Guinée-Bissau : un conflit avec le Sénégal:
BLOCUS ECONOMIQUE A LA FRONTIÈRE BISSAU GUINEENNE Le president Kumba Yalla monte au créneau Le président de la République de la Guinée Bissau, Kumba Yalla a mis en place une commission composée du général Ansoumane Mané, des ministres de l'Intérieur et de la défense, des Affaires étrangères pour s'occuper des problèmes frontaliers avec son voisin du Sénégal. Cette commission qu'il dirige lui même, selon des sources concordantes, va rencontrer le week-end prochain une délégation sénégalaise de haut rang à Salikégné dans la région de Kolda, "pour dénouer la crise née à la frontière avec le blocus économique opéré par les populations sénégalaises depuis quelques jours maintenant". Le chef de l'Etat Bissau guinéen entend ainsi prendre le taureau par les cornes et monter en première ligne après l'échec des deux rencontres à Salikégné et à Kolda entre des gouverneurs des provinces frontaliers et le préfet de Kolda. Les populations de Kolda continuent d'exiger des autorités bissau-guinéennes, la destruction de toutes les bases du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc). Cette intransigeance des Sénégalais qui en ont ras le bol d'être des victimes consentantes des bandes armées qui écument les villages frontaliers, pillent et volent sans coup férir en trouvant réfuge en Guinée Bissau voisine, oblige les autorités de ce pays à prendre en charge leurs préoccupations. Demba Baldé du Conseil départemental de la Jeunesse l'a clairement signifié aux autorités des deux pays qui se sont rencontrées à l'hôtel "Hobbé" de Kolda le mardi 1er août, après l'échec de la réunion de Salikégné du 29 juillet. "Nous allons continuer le blocus jusqu'à satisfaction de nos revendications". A quoi, a répondu le gouverneur de Bafata, Da Silva: "il faudrait nous permettre de réussir la phase actuelle de reconstruction de notre pays. Une nouvelle équipe de jeunes cadres est entrain de s'installer et rencontre des difficultés qui sont le fait de la vieille garde du Parti africain de l'indépendance de la Guinée bissau et des îles du Cap Vert (Paigc). Elle essaye de nous destabiliser. Ce blocus économique que vous nous imposez ne fait que les aider. Nous comprenons les soufrances de vos populations, mais ensemble, nous arriverons à y mettre un terme". Ces propos n'ont pas semblé émouvoir les populations de Kolda qui sont restées fermes sur leur position. Elles assurent que la région d'Oio en Guinée Bissau qui englobe Farim, Kuntubel, Djimbendé, est la "plus infectée" par les bandes des pillards qui opérent au Sénégal. Le gouverneur Agustinho Indemé d'Oio a cependant indiqué que "le preneur d'otage Mama Gassama alias Rambo de Kuntima a été muté à Bissau. C'est là une bonne volonté de notre part pour parvenir à une parfaite harmonie entre nos populations frontalières ainsi que la paix et la sécurité dans le secteur ". Il a également assuré qu'une commission mixte sénégalo-guinéenne accompagnée des victimes se chargera de la recherche des biens volés en Guinée Bissau. Cette proposition a été accueillie avec beaucoup de scepticisme par la partie sénégalaise, très peu convaincue de son efficacité. Est-ce la raison pour laquelle, le président Kumba Yalla décide de s'occuper personnellement du dossier? Sa rencontre avec des autorités sénégalaises le week-end prochain à Salikégné, sera en tout cas déterminante dans la résolution de cette crise.
Abdou Diao  (Le Soleil)

3- Une confirmation : la plus belle fille du Sénégal est Casamançaise:
Une journée avec Miss Dakar : «Je pense maintenant à mon bac» Madeleine Gomis est longiligne. Elle est belle, très belle même. Elle est épanouie, radieuse. Signe particulier : une délicatesse et une spontanéité renversantes. Au fait, Madeleine, c’est Mado ou Miss Dakar. Malgré le transport et les couronnes, elle est restée étonnamment lucide. “ Ça y est, je suis redescendue de mon nuage maintenant cap sur le baccalauréat de l’an prochain ”. Mado est une personne de fort agréable compagnie. On ne sent pas le temps passer avec elle. Une semaine après le concours de Miss Sénégal, elle a accepté de nous parler d’elle-même, de ce qu’elle a ressenti après son sacre comme première dauphine ; ce qui l’a amenée à participer au concours de beauté, ses passions, ses “ coups de gueule ” aussi. Mado est tout simplement déroutante. Et sa maman la couve, ne se séparant jamais d’elle. De même que son père qui donnait des coups de fil, avec une régularité métronomique. “ Je me suis présentée au concours de Miss Sénégal, parce que je voulais me faire plaisir ; car c’était un jeu pour moi. Lorsque je fus élue la plus belle fille de Dakar, j’ai été comblée. Après le verdict de Miss Sénégal aussi, j’étais honorée d’avoir été choisie comme 1ère dauphine de Mammy Camara, Miss Sénégal 2000 et je remercie le Bon Dieu de m’avoir accordée cette place. Non, je ne suis pas déçue et après avoir été élue Miss Dakar, ce choix porté sur ma personne est une consécration pour tous ceux qui se sont investis pour mon succès : mes parents surtout, qui m’ont accompagnée et soutenue de bout en bout et qui avaient posé comme condition le fait que mes études ne souffrent pas de cet intermède ”. Mado avoue qu’elle était un peu stressée mais gardait les pieds sur terre. Le rêve d’être la plus belle fille du pays, elle l’a caressé l’espace d’une soirée : “ comme toutes les autres filles ; mais Mammy a été choisie et je l’en félicite ”. Pour Miss Dakar, il y a plusieurs sortes de beautés mais elle en retient deux : physique et de cœur. “ En ce qui me concerne, ce sont les gens qui peuvent juger et qui peuvent porter une appréciation. Moi, je sais que j’aime à rendre service, à me mettre à l’écoute de mon prochain, plus particulièrement les jeunes et les adolescents... Je crois que si je devais choisir un métier en dehors du mannequinât, je serais assistante sociale… ” Mado fait noter que le succès ne lui est pas monté à la tête, même quand les gens la montrent du doigt. J’en suis certes contente et cela me renforce dans ma conviction que ce ne sont pas mes parents seuls qui m’ont soutenu pendant le concours de beauté. Miss Dakar songe-t-elle à prendre mari ? “ Oui, j’ai un petit ami et je laisse les choses suivre leur cours normal ”. Comment voulez–vous qu’il soit, cet homme ? “ Il faut qu’il soit grand de taille et très intelligent. Et cela ne ferait pas de mal s’il est beau. Puisque toutes les femmes rêvent d’avoir un mari qui est beau ”. Savez-vous cuisiner ? “ Oui je sais faire des frites, du riz blanc, du riz au poisson si je suis assistée… ”, confesse Mado avec candeur… Une journée avec Miss Dakar est un véritable délice. C’est se mettre sous le regard ébaudi des admirateurs, c’est aussi se placer sous leurs coups de sifflet admirateurs. Mado évolue dans un autre monde. Elle est toujours emportée par le nuage qui l’a placée sous les feux de la rampe. Sa mère la couve, guide ses pas, la conseille et la tire d’embarras quand elle répond du tac au tac avec sa proverbiale répartie…Séance de photo devant les grilles du Palais de la République, à la plage, devant le ministère des Affaires étrangères, à l’hôtel Méridien-Président, au Parc zoologique de Hann…Une proximité bienfaisante.
Saliou Fatma Lo. (Sud)

4- Le artistes sénégalais accablés de taxes:
Les musiciens sénégalais se plaignent d'être assommés par les impôts et les taxes que leurs gains réels, affirment leurs managers, ne peuvent plus couvrir. La plainte n'est pas nouvelle mais elle a ressurgi à la mi-juillet avec plus d'acuité, lorsque plusieurs des ténors de la musique, dont Baba Maal, Omar Pène et Ismael Lô, ont reçu l'ordre de payer au trésor public des sommes jugées "faramineuses" variant entre 10 et 35 millions de F CFA (100.000 et 350.000 FF), dont des redressements fiscaux sur trois, voire cinq ans pour certains. De son côté, Edje Diop, un des doyens du show-business sénégalais, a récemment estimé à plus de 41 % des recettes les diverses taxes que paie un artiste ou son producteur lors d'un spectacle. Ces taxes sont réparties entre le fonds d'aide au sport, les taxes municipales, les droits d'auteurs, les taxes sur la publicité, etc. "Comment voulez-vous qu'un artiste évolue dans ces conditions-là ?", fulmine Mbassou Niang, manager de Baba Maal et président de l'Association des managers de musique sénégalais. "Les musiciens sont prêts à payer des impôts comme tous les autres contribuables, mais il faut rester raisonnable", estime-t-il, avant de regretter l'époque du président-poète, Léopold Sédar Senghor, lorsqu'on ne "réclamait aucun impôt" aux musiciens. Les soucis sont les mêmes pour Pape Thierno Diop, qui gère les affaires d'Omar Pène, présent depuis 25 ans au top de la musique sénégalaise. Les inspecteurs des impôts doivent se "conformer aux déclarations de revenus" faites par les musiciens ou leurs agents, dit-il, au lieu de faire des calculs sur des "bases erronées". Selon plusieurs managers interrogés par l'AFP, c'est en 1991 que "le harcèlement" du service des impôts a commencé. "Ils nous collent des huissiers et c'est pire que la police ou la gendarmerie", déclare avec colère Mady Dramé, manager du célèbre Youssou Ndour. Il affirme être angoissé à la veille de chaque spectacle. "Nous avons toujours la crainte de ne pas nous en sortir, avec toutes les dépenses liées à l'organisation et à la promotion", confie-t-il. Selon lui, les taxes élevées sont responsables de l'absence des scènes sénégalaises des vedettes mondiales de la musique, qu'aucun promoteur ne peut produire dans ce pays. Face à ces dénégations, certains Sénégalais pensent en revanche que les têtes de file de la musique sénégalaise sont de "grosses fortunes" qui doivent être imposées en conséquence. "Il n' y a pas de régime dérogatoire en matière fiscale", déclare sèchement, sous le couvert de l'anonymat, un inspecteur des impôts, qui précise que "le problème avec les artistes, c'est qu'ils ne prévoient jamais de payer les impôts". Les nouvelles autorités, issues de l'alternance politique de mars dernier, envisagent quant à elles d'organiser des Assises nationales de la musique en septembre prochain. Elles reconnaissent "qu'il y a des difficultés" et promettent d'y remédier. "Nous allons étudier toutes les propositions pour voir comment alléger la pression que subissent les artistes, afin qu'ils parviennent à vivre de leur art", affirme Madièye Mbodj, conseiller technique au ministère de la culture. Du côté des musiciens, qui se considèrent comme des "ambassadeurs du Sénégal", ces Assises sont très attendues. Si rien n'en sort, dit Jo Guèye, un autre manager, "c'est la mort de la musique et des industries culturelles, qui pourtant contribuent à la vie économique et au rayonnement du pays".
(AFP)


2) Des Nouvelles de Planete-Senegal.com

Salut à tous les sénégaliens. Nangènedef  Cette lettre d'information est envoyée aujourd'hui à 3421 personnes à travers le monde ! Bienvenue aux nouveaux inscrits qui sont CHAQUE JOUR un peu plus nombreux et du monde entier.
Comme à chaque bulletin de Sénégalaisement.com, je vous présente un nouveauté :
Sur la page principale vous pouvez désormais créer et consulter votre email planete-senegal.com ! Idéal pour recevoir les Bulletins... et les cours de wolof. Que ceux dont les cours ont été interrompus se rassurent les cours reprennent LA SEMAINE PROCHAINE !!! Ne désespérez pas !
Le Calendrier Senegalaisement commence à bien se fournir ! Je vous invite à aller voir toute l'actualité (concert en France (Paris-Province), Sénégal, Cinéma, Télé etc..) . N'oubliez pas d'y particper en y laisser VOTRE Actualité du Sénégal.

A bientôt sur planete-senegal.com et n'hésitez pas à participer à ce bulletin ou à m'envoyer des petits mails sympa 
Pour ceux qui voudrait m'aider : TOUTES LES BONNES VOLONTES SONT LES BIENVENUES car c'est un travail énorme. En période de pointe je reçoit près de 100 mails du monde entier dans la journée rien que pour Planete-Senegal.com !
Je lance également un appel à tous les amateurs du Sénégal de Paris et de la Région Parisienne : je suis en train de préparer un cédérom interactif HYPER-COMPLET sur le Sénégal et j'aimerais qu'il soit prêt pour mi-octobre. Si certains veulent participer à ce cédérom, ils peuvent appeler au 06 19 77 14 20 (en France).

Appel à photo (bis)! Je manque beaucoup de photos sur le Sénégal, la Gambie et la Guinée-Bissau. Je suis un piètre photographe mais surtout je ne prends plus de photos dans ces trois pays depuis que j'y suis chez moi. Tous ceux qui aurait la gentillesse de m'envoyer leur photos (y'a pas de mauvaises photos ou de mauvais sujets !) sur ces trois pays (je suis en train de faire guinee-bissau.net et gambiennement.com, non non je ne blague pas !) peuvent me les envoyer (au format jpg, maximum 150Ko la photo). Leur nom sera évidemment marqué sur la photo. Un bon moyen de partager vos expérience ! Merci d'avance. Christian (hé au fait Marion, quand m'envoies-tu tes photos de Casamance ?)


3) Les messages des senegaliens
(disponible également sur le nouveau forum de

planete-senegal.com à www.planete-senegal.com/forum/) :

Par  Edith le mercredi 2 août 2000 - 17h05: 

Quelqu'un pourrait-il me donner un tuyau pour dégoter des billets d'avion à bon prix car nous voyageons à trois à chacun de nos déplacements (plusieurs fois par an). merçi à vous.Quelqu'un pourrait-il me donner son opinion sur le Cap Saint-Louis ou sur le Mermoz à Saint-Louis?
D'avance, merci.

Par Guitard le vendredi 28 juillet 2000 - 11h51:

Bonjour,
j'ai entendu dire qu'une nouvelle association se créait avec pour objet la protection des oiseaux du Sénégal.
Qui pourrait m'en dire plus et me donner des coordonnées pour entrer en contact avec les animateurs de cette assoc.
merci d'avance.
Jean-Jacques Guitard

Par Schmitt Michel le mardi 25 juillet 2000 - 08h46:

J'ai été coopérant au Sénégal de 1967 à 1969. Ce fut pour moi une découverte extraordinaire qui m'a marqué pour la vie!J'ai adoré ce pays, les gens qui l'habitent et la culture africaine qui y existe; J'ai beaucoup parcouru ce pays car je travaillais comme technicien "son" dans le cadre de l'organisme "C.L.A
C.L.A.D.(Centre de Linguistique Appliquée de Dakar) et je circulais beaucoup dans les écoles primaires du pays.
J'aimerais bien avoir des nouvelles de l'enseignement primaire ainsi que de ce qu'est devenu la méthode CLAD.
Merci d'avance

Foncer donc vite sur le nouveau Forum pour réalimenter la page et répondre à ces messages.
Les meilleurs messages paraissent dans cette lettre d'info publié à plus de 3000 internautes!
www.planete-senegal.com/forum/


4) La Météo : Aujourd'hui Ziguinchor

Mis à jour: 15:00 PM GMT le 4 août 2000
observé à Ziguinchor, Senegal
Les températures 30° C
Index de chaleur 37° C
Humidité 79%
Point de saturation 26° C
Vent SO à 14.5 km/h
Pression 1014 hPa
Conditions météo Généralement nuageux
Nuages :  nuages bas,
Visibilité : 600 m
Lever du soleil 06:52 AM (GMT)
Coucher du soleil 07:30 PM (GMT)
Lever de la lune 11:01 AM (GMT)
Coucher de la lune 11:22 PM (GMT)

Visitez également la météo en direct complète des plus grandes villes du Sénégal sur
la page météo de www.planete-senegal.com


5) Infos diverses

Allez voir d'urgence le Calendrier de Sénégalaisement.com. Cette semaine plein de choses à savoir sur le Sénégal : Des films au Cinéma à Paris, des programmes et des concerts à la télé et en Province,   des fêtes au Sénégal.

Participez au concours du site Africultures en soumettant vos proverbes africains :
http://www.africultures.com/jeux/proverbes/proverbes.htm


 6) L'association du jour :
L'Institut Pasteur de Dakar
http://www.pasteur.sn/

En 1886, le Docteur E. MARCHOUX a créé à Saint-Louis du Sénégal le laboratoire de microbiologie de l'Afrique Occidentale Française. Le transfert à Dakar a été réalisé le 24 avril 1913 et le 2 juillet de la même année, le gouverneur William Ponty, venant visiter les bâtiments, définit en ces termes les missions du laboratoire de recherche en bactériologie et zootechnie de l'Afrique Occidentale Française : "Son programme d'investigation plein d'ampleur comprend la recherche et l'étude des maladies bactériennes et des maladies à protozoaires de l'homme, des animaux et des plantes, l'étude de leur transmission possible ou certaine par les insectes suceurs ou piqueurs, celle des moyens de s'en préserver ou de les détruire ainsi que l'étude des substances nouvelles ou anciennes des virus ou vaccins pouvant servir à les éviter ou à les traiter".

Visitez également la page association de www.planete-senegal.com
Si vous-même dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le Sénégal, n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail !


7) Le site du jour : Sénégal Music
Un site de Fabrice Gaillard

http://www.mediaport.net/Music/Pays/senegal/index.en.html

Ce site fait la liste preque exhaustive des grands artistes du Sénégal dans tous les genre musicaux (Mbalax, Rap,Variété, Traditionnel). Vous pourrez consulter cette liste pour avoir plus de renseignements sur chaque chanteur.  mizik@ina.fr

Si vous avez fait un site parlant du Sénégal, et voulez le voir paraître dans cette rubrique, n'hésitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'êtes pas un webmaster chevronné (!) et voulez voir votre expérience publiée sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail vos textes et photos qui seront
transformés en page web sur le serveur planete-senegal.com.


 

www.planete-senegal.com

bulletin 17  août 2000

Hit-Parade