Bulletin N�13 de Planete-Senegal.com
SOMMAIRE DE CE BULLETIN :
1- Infos du jour (aujourd'hui avec le Sud et le Soleil)
2 - Nouvelles de senegalaisement et des cours de wolof
3 - Les messages des s�n�galiens (vous �tes bien des s�n�galiens non ?)
4- La m�t�o du jour (aujourd'hui Dakar)
5- Infos diverses (concours de proverbes)
6- L'Association du Jour (l'Association Sin�-Saloum)
7- Le site du jour (Les femmes dans la litt�rature s�n�galaise)
1) Infos du Jour avec Sud et le SOLEIL
(les articles entiers sont disponibles sur la page
Infos/m�dias de www.planete-senegal.com)
1- Les premiers r�sultats du BAC.
2- A Tamba, le calvaire des femmes priv�es d'eau
3- LE PDS ET LE RALLIEMENT DES CACIQUES SOCIALISTES
4- Floraison de mutuelles pour les exclus des banques
Les premiers r�sultats du BAC.
Un taux satisfaisant pour le lyc�e Delafosse
Les �preuves du deuxi�me groupe du Bac de la s�rie G ont d�but� hier matin dans les trois jurys du centre abrit� par le lyc�e technique commercial Maurice Delafosse, apr�s la proclamation des r�sultats du premier groupe. Des r�sultats appr�ci�s par les autorit�s du lyc�e qui a pr�sent� 477 candidats au Bac G. " Apr�s le premier tour, nous avons eu 95 �l�ves admis d�office, soit un taux de r�ussite de 19, 91 %. Les candidats devant passer les �preuves du deuxi�me groupe sont au nombre de 189, soit un taux de 40, 88 %� ", a r�v�l� le directeur des Etudes de l��tablissement M. Sambou. Il juge ces pourcentages de r�ussite tr�s satisfaisants par rapport aux ann�es pr�c�dentes, malgr� les gr�ves intempestives que connaissent les lyc�es de la place. Et M. Sambou de louer "le bon travail de nos professeurs" qui valent au lyc�e technique commercial Delafosse ce taux de r�ussite. Et il souhaite que ceux-ci se confirment � l�issue des �preuves du deuxi�me groupe.
A Dakar, les �l�ves candidats au baccalaur�at de la s�rie G ont �t� r�partis en cinq jurys de deux centres d�examen. Ces �l�ves viennent, outre du lyc�e de Delafosse, d��tablissements priv�s tels : le Coll�ge Saint-Michel, le Coll�ge de l�Immacul�e, l�IPG, etc. Le centre du lyc�e Technique commercial Maurice Delafosse, avec ses trois jurys a enregistr� 117 admis au premier groupe, dont onze avec la mention " Assez-bien ". Deux cent soixante-quatre autres passent depuis hier les �preuves du deuxi�me groupe. Tandis que le centre d�examen du Coll�ge Saint-Michel, qui abrite deux jurys de la s�rie G, a totalis� 92 candidats admis au premier tour, dont une mention Tr�s-bien, un Bien et treize assez-bien. Cent dix-huit candidats de ces deux jurys sont admis � subir les �preuves du deuxi�me groupe.
En classe de terminale, les �l�ves de la s�rie G ont au programme, durant l�ann�e scolaire, outre des mati�res du bac g�n�ral, comme la philosophie et le fran�ais, l��conomie, la comptabilit�, le droit, la dactylographie, les math�matiques appliqu�es� Le Baccalaur�at option s�rie G offre aux heureux candidats la possibilit� de continuer leurs �tudes en facult� des Sciences �conomiques et de Gestion, passer le concours d�entr�e � l�Institut sup�rieur de Gestion de l�Ecole sup�rieure polytechnique ou, bien s�r, d�aller dans les Grandes Ecoles, � l�ext�rieur du S�n�gal�
Omar Diouf
A Tamba, le calvaire des femmes priv�es d'eau
A Tamba, le calvaire des femmes
Les 3100 abonn�s de la SDE priv�s d�eau depuis samedi dernier, pour la plupart, et le dimanche, pour tous, vont garder leur mal en patience, cela jusqu�au plus tard aujourd�hui � 12 H, pour enfin obtenir le pr�cieux liquide. En effet, depuis samedi, un d�ficit de production a isol� huit quartiers de la commune sur les dix. Sur une capacit� de 2.700 m3, par jour, seulement 850 m3 �taient disponibles, soit 31 %, selon Moussa Faty, le directeur r�gional de la SDE. Le d�ficit, pour lui, est d� � un arr�t d�un des deux forages, suite � la panne de la pompe -un r�chauffement, comme l�indique le d�tecteur. Le deuxi�me forage a fonctionn� jusqu�� dimanche et une baisse de r�gime de 80 m3/H a �t� constat�e, la pompe tr�s sollicit�e ne pouvant donner que de 12 � 15 m3/H. Samedi, la topographie de la ville a favoris� certains quartiers comme une partie du quartier Pont et de Gounass.Toutefois, le 3e forage, en cours d��quipement, dont les performances prendront en compte l�extension de la ville, permettra jusqu�� l�horizon 2010 de r�pondre � toutes les sollicitations. Cette r�alisation de la soci�t� de patrimoine (la SONES) verra le jour � la fin de ce mois de juillet, comme l�a indiqu� Moussa Faty. Pour ce forage, la pompe est d�j� achemin�e.Le week-end dernier et hier, le spectacle qui s�offrait aux yeux des Tambacoundois, ce sont les files de femmes, bassine sur la t�te, visitant les maisons ayant un puits. Il faut donc dire que les puits, qui sont dans la plupart des maisons, surtout dans les quartiers p�riph�riques et populaires, ont repris service. Dans les quartiers r�sidentiels comme Libert�, les m�nag�res �taient oblig�es de parcourir des kilom�tres pour trouver de l�eau.Cela est d�ailleurs inhabituel � Tamba. L�ann�e derni�re, la seule panne et le d�ficit d�approvisionnement ont �t� vite jugul�s. Mais � pr�sent, la ville vit un calvaire en cette p�riode hivernale o� une chaleur accablante s�vit.
P.D.Sidib�
LE PDS ET LE RALLIEMENT DES CACIQUES SOCIALISTES
"Il ne faut pas qu'ils s'attendent � une protection"
La responsabilit� et le rang de caciques socialistes qui rallient par vagues depuis quelques jours le Parti d�mocratique s�n�galais (Pds), le parti du pr�sident de la r�publique, Me Abdoulaye Wade, suscitent beaucoup d'interrogation. Ils sont en effet suspect�s d'�tre partis se mettre sous "le parapluie" du Pds qu pouvoir pour �chapper � d'�ventuels audits, contr�les ou poursuites pour leur gestion pass�e. LE d�put� lib�ral Lamine Thiam, par qui tous les nouveaux venus transitent avant d'aller � la pr�sidence de la R�publique est formel : "il ne faut pas qu'il s'attendent � une protection, ils comptables de leur gestion pass�e".
SUD Quotidien
Floraison de mutuelles pour les exclus des banques
En se restructurant en profondeur pour sortir de la grave crise dans laquelle des orientations erron�es et de lourdes fautes de gestion l'avaient entra�n� et enfonc�, dans les ann�es soixante-dix et quatre-vingts, le syst�me bancaire s�n�galais s'�tait d�pouill� de presque tout ce qui pouvait le g�ner aux entournures : les banques de d�veloppement et commerciales qui �taient pratiquement toutes en faillite, son exc�s de personnel, ses mauvaises cr�ances. Les banques, qui surv�curent � la crise, �lagu�rent �galement de leur portefeuille une bonne partie de la petite client�le qu'elles y avaient admise, et marginalis�rent encore plus le financement PME-PMI, pour ne pas parler des micro affaires et petits �pargnants.
Cet " assainissement " du secteur bancaire, � l'image des �curies d'Augias, aurait pu infl�chir le dynamisme des micro affaires et des PME-PMI, dont on rendait encore plus difficile, sinon impossible, l'acc�s au cr�dit. Mais tout au contraire, il a eu, comme corollaire, l'�mergence et le d�veloppement rapide de syst�mes alternatifs de financement.
Les Syst�mes Financiers D�centralis�s (SFD), selon l'expression consacr�e, sont constitu�s par des mutuelles, ou coop�ratives d'�pargne et de cr�dit d'une part, et de groupements d'�pargne et de cr�dit de l'autre. La diff�rence entre ces deux formes d'institutions est juridique, suivant la loi du 5 janvier 1995 qui r�glemente leur existence et fonctionnement, et son d�cret d'application entr� en vigueur en 1997. Les mutuelles sont d�ment dot�es de personnalit�s morales, alors que les groupements d'�pargne et de cr�dit b�n�ficient d'une simple reconnaissance, mais qui leur permet d'exercer des activit�s d'interm�diation financi�re en toute l�galit�.
Les SFD sont ainsi des structures de faible ou de moyenne envergure agr��es ou reconnues par les pouvoirs publics et les autorit�s mon�taires de l'UEMOA. Leur int�gration dans les circuits de l'interm�diation financi�re �tait d'autant plus indiqu�e et indispensable qu'ils sont plus aptes que les banques classiques � capter l'�pargne informelle et � la drainer pour le financement du d�veloppement, vers la base dont ils cadrent avec les besoins sp�cifiques.
La loi 95-03 du 5 janvier 1995, qui r�glemente l'existence et le fonctionnement des mutuelles ou coop�ratives d'�pargne et de cr�dit, par une sorte de " discrimination positive " leur facilite bien la t�che, en stipulant, notamment, que : " les institutions sont exon�r�es de tout imp�t direct ou indirect, taxe ou droit aff�rent � leurs op�rations de collecte de l'�pargne et de distribution du cr�dit. Les membres de cette institution sont �galement exempt�s de tout imp�t ou taxe sur les parts sociales, les revenus tir�s de leur �pargne et les paiements d'int�r�t sur les cr�dits qu'ils ont obtenus de l'institution ".
Eclosion spontan�e:
Ces institutions, � l'image des tontines qui sont leurs modestes pr�curseurs, ont �galement et surtout leurs ressorts solidement assis sur les relations de proximit� confiante qui lient leurs membres qui en sont, � la fois, propri�taire et usagers.
Leur �closion fut d'abord spontan�e. Avant m�me la loi de 1995, somme toute venue consacrer une situation de fait, 116 structures d'�pargne et de cr�dit fonctionnaient d�j� � l'�chelle du pays. L'arr�t� du 23 f�vrier 1993 avait bien �t� pris pour transitoirement fixer les conditions d'agr�ment et de fonctionnement des mutuelles. Mais il �tait muet sur les dispositions analogues concernant les groupements, et aussi sur les sanctions encourues en cas d'infractions aux normes de gestion financi�re et comptable.
La p�riode suivante est caract�ris�e par le retrait de l'agr�ment de certaines institutions du fait de leur mauvaise gestion et de leur absence de cr�dibilit�, et le regroupement de certaines institutions en r�seaux : � l��poque, le PRIMOCA avec les MUWEC de S�dhiou (13 institutions), le PAMECAS (20 institutions dans la r�gion de Dakar), le Cr�dit Mutuel du S�n�gal (82 institutions), les mutuelles rurales de Louga (10 institutions) et de l'UNACOIS, notamment. " Ces restructurations, le respect des pr�alables de la reconnaissance et de l'agr�ment et un contr�le plus efficace des institutions et des r�seaux, contribu�rent fortement � la professionnalisation de leur gestion, et au renforcement de leur �quilibre institutionnel et financier ", selon Fayol Dioum Tall, la coordonnatrice de la Cellule d�Assistance Technique aux Caisses populaires d�Epargne et de Cr�dit, du minist�re de l�Economie et des Finances.
620.000 membres en 2001 ?
Actuellement, les exp�riences d'interm�diation de proximit� se diversifient et se multiplient. Celles dont la situation juridique conforme � la r�glementation en vigueur �taient, � la fin novembre dernier, constitu�es de 175 mutuelles d'�pargne et de cr�dit, de 214 groupements d'�pargne et de cr�dit, et de 6 organisations de cr�dit ou ayant ce volet et li� au MEF par une convention. Et il s�en cr�e d�autres, et de toutes les tailles, presque chaque jour.
Toutefois, la population desservie par les syst�mes financiers d�centralis�s est encore faible. En effet, sur les 2.830.678 personnes qui composaient la population active nationale, � la date prise en r�f�rence, seules 200.000 �taient soci�taires des institutions et groupements recens�s, soit � peine 7%. L'objectif vis� actuellement est de porter ce taux � 20% en 2001, soit � 620.000 membres. C�est fort possible, au rythme o� vont les choses.
2) Des Nouvelles de Planete-Senegal.com et des cours de wolof :
Salut � tous les s�n�galiens. Nang�nedef ? Cette lettre d'information est envoy�e aujourd'hui � 3358 personnes � travers le monde ! Pour ce deuxi�me bulletin d'apr�s la panne, je tiens � encourager le webmaster du "Guide du S�n�gal sur Internet" � r�ouvrir le site au plus vite en esp�rant que l'arr�t de son serveur n'est que provisoir. Jean-Luc Stalin est en effet un des premiers (depuis plusieurs ann�es) � avoir fait un site parlant du S�n�gal et mis � jour plusieurs fois par mois. Le travail est extraordinaire et j'ai h�te qu'on le retrouve !
Concernant Planete-Senegal.com, vous pourrez constater que certaines pages ont �t� mises � jour. Que la plupart des liens ont �t� r�actualis�s. En plus des nouvelles pages annonc�es dans le bulletin N�11 (annuaire d'emails de tous les s�n�galais de l'ext�rieur et des s�n�galiens afin de faire une grande communaut� d'�change en fonction des villes et des pays, page de du S�n�gal � l'�trangers avec les meilleures adresses pour retrouver le S�n�gal � Paris, Rome, Berlin ou Montr�al (restaurants, foyers africains, boutiques, musiques etc...) qui seront mises en lignes dans quelques jours, vous pourrez voir une nouvelle pr�sentation du site plus conviviale. Les cours de Wolof interrompu � cause de la Panne du site vont reprendre dans quelques jours avec tout plein de nouveaut�s. J'en profite pour mettre � contribution les bonnes �mes qui voudrait participer au site et au bulletin. Si des bonnes �mes sont pr�tes � assumer deux revues de presse par semaine, � fouiner sur le web pour le site du jour, pour faire une selection des meilleurs messages du forum, pour traduire des pages du site en Italien, Espagnol, Anglais ou Allemand, pour donner des adresses de la culture s�n�galaise dans leur ville, TOUTES LES BONNES VOLONTES SONT LES BIENVENUES car c'est un travail �norme. En p�riode de pointe je re�oit pr�s de 100 mails du monde entier dans la journ�e rien que pour Planete-Senegal.com !
Pour finir, je lance �galement un appel � tous les amateurs du S�n�gal de Paris et de la R�gion Parisienne : je suis en train de pr�parer un c�d�rom interactif HYPER-COMPLET sur le S�n�gal et j'aimerais qu'il soit pr�t pour mi-septembre. Si certains veulent participer � ce c�d�rom, ils peuvent m'appeler au 06 19 77 14 20. (moi c'est Christian)
A bient�t sur planete-senegal.com et n'h�sitez pas � participer � ce bulletin ou � m'envoyer des petits mails sympa (Les championnes sont vraiment Claudine, Chlo�, Isabelle, Marie-Th�r�se et Dominique qui reste rarement une semaine sans m'�crire !)
3) Les messages des senegaliens
(disponible �galement sur le forum de
planete-senegal.com � www.planete-senegal.com/forum/) :
b o n j o u r� a m i s� s � n � g a l a i s ,
j e� m e� n o m m e� f l o r e n t� L e a l���� . ���
J ' a i� 1 8� a n s� e t� j e� s u i s� u n p a s s i o n n � d u� s � n � g a l ,� j e n ' y� h a b i t e � m a l h e u r e s e m e n t� p a s .
Je suis de France (lyon) et ma famille habite � dakar, je m' y rend d�s que possible c'est-�-dire environ trois fois par an .
J ' a u r a i s�� s o u h a i t 頠 c o r r e s p o n d r e �� a v e c�� d e s�� p e r s o n n e s�� d u �� s � n � g a l�� c a r�� j e�� t r o u v e � q u e
c e�� s o n t�� d e s�� g e n s�� v r a i m e n t �� t r � s�� s y m p a t h i q u e s .
J ' e s p � r e�� r e c e v o i r�� v o t r e�� r � p o n s e�� t r � s�� b i e n t � t .
m e r c i�� e t�� a u r e v o i r
florent.leal@wanadoo.fr��
Ecrit par Chlo� le 9 juillet 2000
de la part de Chlo� A.
Message :
Coucou! J'�tais bien triste que mon site pr�fer� ait disparu pendant d'interminables mois .....
Alors dis-nous comment �a se passe pour se r�inscrire aux cours de wolof, etc....
Vive (longtemps!)Planete-Senegal.com !
(merci Chlo�, tu es la plus fid�le ! )
Foncer donc vite sur le Forum pour r�alimenter la page.
Les meilleurs messages paraissent dans cette lettre d'info publi� � plus de 3000 internautes!
www.planete-senegal.com/forum/
4) La M�t�o : Aujourd'hui ZIGUINCHOR
�
Mis � jour: 13:00 GMT le 11 juillet 2000
observ� � Dakar, Senegal
Les temp�ratures 82� F / 28� C
Index de chaleur 89� F / 31� C
Humidit� 79%
Point de saturation 75� F / 24� C
Vent ONO � 7 mph / 11.3 km/h
Pression 29.88 pouce / 1012 hPa
Conditions m�t�o G�n�ralement nuageux
Lever du soleil 06:47 AM (GMT)
Coucher du soleil 07:44 PM (GMT)
Lever de la lune 03:45 PM (GMT)
Coucher de la lune 02:51 AM (GMT)
Visitez �galement la m�t�o en direct compl�te des plus grandes villes du S�n�gal sur
la page m�t�o de www.planete-senegal.com
5) Infos diverses
J'ai re�u dans mes emails un blague d'un internaute s�n�galais. Certaines personnes sans humour la trouveront b�te, mais j'ai personnellement beaucoup rigol� :
Un g�nie appara�t dans une tribu africaine pour exaucer un voeu � tous les habitants du village.
Il les fait mettre en rang et leur demande un par un quel voeu ils voudraient voir exhaucer.
Le premier : je voudrais �tre blanc. Le g�nie le transforme en blanc.
Le deuxi�me : je voudrais �tre blanc. Le g�nie le transforme en blanc.
Un gars dans le milieu de la queue va se placer � la fin et en faisant
un grand sourire.
Le 3�me : je voudrais �tre blanc. Le g�nie le transforme en blanc.
Le 4eme : je voudrais etre blanc. Le g�nie le transforme en blanc...
Les 10 suivants formulent le m�me voeu, et le g�nie les transforme �galement en blanc.
Le gars du fond commence � bien rire.
Le 25 �me passe : je voudrais �tre blanc...
Le gars du fond s'explose de rire.
Le 40 �me , le 50 �me ... : je voudrais �tre blanc...
Le gars au fond se roule par terre en se prenant le ventre dans les bras.
Le 60�me, 70 �me 80 �me : je voudrais �tre blanc...
Au fond il n'en peux plus, il en pleure en a mal partout.
Le 90 �me , 95 �me... jusqu'au 99�me : je voudrais �tre blanc...
Quand arrive son tour, il lui faut 15 minutes pour demander son voeu et dans un acc�s de fou rire il demande :
-Je voudrais qu'ils redeviennent tous noirs.
Une mention Sp�ciale maintenant pour les Amis et Anciens de Casamance (je me r�p�te mais c'est vraiment la plus belle r�gion) : ����
Le d�part du prochain raid humanitaire est pr�vu en novembre 2000.
23� v�hicules rejoindront Ziguinchor� et� sauveront encore des vies.
Il a fallu� 15000 litres de carburant� pour relier� OLBY � � ZIGUINCHOR
Les � Anciens et les Amis de la CASAMANCE� vous remercient de les aider � refaire le plein.�
Les dons sont int�gralementutilis�s pour� l'aide humanitaire
Retournez voir le site � l'adresse suivante : http://perso.infonie.fr/ziguinchor/fsactions.htm
Participez au concours du site Africultures en soumettant vos proverbes africains :
http://www.africultures.com/jeux/proverbes/proverbes.htm
�6) L'association du jour : LES AMIS DE BABACK��
LES AMIS DE BABACK��fait partie de ces associations dont on entend peu parler mais qui font un travail de terrain important. En allant visiter le site de l'asso (http://perso.wanadoo.fr/les-amis-de.baback/logenter.htm) vous d�couvrirez les lettres mensuelles de l'Association� ainsi qu'un inventaire des r�alisations, des projets, des besoins.
Un site plein d'espoir et de bonne humeur ! Parmis les projets des mois qui viennent, les cases d'accouchement :
LES CASES D'ACCOUCHEMENT
Le projet consiste � construire 18 Cases d'Accouchement afin de r�pondre aux besoins sanitaires des m�res dans les diff�rents villages du district. Ces cases seraient �quip�es d'un minimum de mat�riel pour permettre de pratiquer l'accouchement dans de bonnes conditions.
EQUIPEMENT
L'�quipement sera simple et devra �tre maintenu propre. Il se composera de:
1 table en ciment
1 meuble en fer fermant � cl�
CONSTRUCTION
La construction des cases n'a pas encore commenc�. Dans le projet des "Amis de Baback" il est pr�vu la construction de 4 cases. Les devis ont �t� fait mais ils sont incomplets. Pour l'instant, le devis se monte � 1750 francs environ. Le devis a �t� remis au ma�on afin qu'il y inclue tous les param�tres. D�s qu'il sera refait, on nous le fera parvenir. Notre estimation est de 2500 francs par case.
Une r�union a eu lieu avec les diff�rents intervenants:
11 matronnes
5 chefs de villages
3 aides de Soeur C�lestine
IMPLANTATION
La premi�re case n'a pas besoin d'�tre construite, puisque nous avons trouv�, au cours de la r�union, qu'il existait un b�timent au centre du village de BABACK qui pourrait servir � cet usage. Il suffit de l'am�nager.
Les 3 autres cases du projet de l'Association se situeraient dans les villages de
DIAMANGUENE et N'GOKHOTCH
SESSENE
KEUR IBRA
Le d�but des constructions devrait se faire apr�s l'hivernage (courant octobre).
Visitez �galement la page association de www.planete-senegal.com
Si vous-m�me dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le S�n�gal, n'h�sitez pas � m'envoyer un petit mail !
7) Le site du jour : Le site de Martin Ndong
Qui a d�j� �t� au S�n�gal sans aller � Fadiouth ? Que les coupables se l�vent. Le village le plus pittoresque (m�me si ce n'est pas le plus tranquille) vous ouvre les bras � quelques kilom�tres de Dakar (114 km tr�s exactement). L'�le au coquillage, Tindine, le cimetierre (etc...) en font un petit paradis terrestre. Bref j'arr�te de parler de Fadiouth (j'en parle assez dans planete-senegal.com ! ). Tout cel� pour en arriver � parler de Martin qui vient de Fadiouth et qui ne pouvait s'appelait que Ndiaye, Diouf ou Ndong (c'est tr�s peu vari� dans ce village !!!). Le sort a choisi Ndong. Il est guide et connais bien la petite c�te et Dakar (�a c'est s�r). Pour le reste du pays il pourra sans nul doute vous faire passer un s�jour fantastique en servant de passe-partout pour les transports en commun, l'habitant etc... Laurence Monteyrol, l'a aid� � faire un site Internet, modeste et simple qui pr�sente Martin et ses activit�s. Donc si vous avez besoin d'une aide pr�cieuse, allez voir ce site. (http://www.multimania.com/martindong/index.html)
Si vous avez fait un site parlant du S�n�gal, et voulez le voir
para�tre dans cette rubrique, n'h�sitez pas et envoyez moi un mail. Si vous
n'�tes pas un webmaster chevronn� (!) et voulez voir votre exp�rience publi�e
sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail vos textes et photos qui seront
transform�s en page web sur le serveur planete-senegal.com.
www.planete-senegal.com
bulletin 13 juillet 2000