Bulletin N°43 de Planete-Senegal.com

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Infos du Jour

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Relogement des habitants de “Pikine Irrégulier Sud” : Début d’aménagement du site de recasement

Les travaux de terrassement du site de recasement des habitants de “ Pikine irrégulier sud ” ont commencé. Ce sera à Keur Massar sur un terrain de douze hectares.
Le terrain est encore bosselé. Des dunes de sable et des zones dépressionnaires aménagées en verger se succèdent à perte de vue. Au loin, un incessant va-et-vient de camions chargés d’ordures ménagères en direction de la décharge de Mbeubeuss. Nous sommes à Keur Massar, sur le site choisi par la Fondation “ Droit à la ville ” pour reloger les populations des quartiers spontanés et victimes d’inondations de Samsam I, II, III, Dimat et Medina Fass Mbao. Près de 600 familles sont concernées. Les travaux de terrassement ont commencé mercredi dernier. Un bulldozer s’active à déblayer arbres et arbustes trouvés sur place ainsi que les haies vives qui délimitent les différentes zones de cultures. Des géomètres font eux des relevés topographiques.
Tout cela pour avoir “ une surface nivelée ” selon Mansour Ndoye, le chef de service départemental de l’urbanisme de Pikine. Et ce n’est pas tout. Les aménagistes tiennent cette fois à rompre avec “ l’urbanisme de rattrapage ” comme l’a dit M. Ndoye. Ainsi, avant toute construction, le terrain doit d’abord être viabilisé, loti et assaini.
Ainsi, il est prévu après le terrassement, des travaux d’adduction d’eau, d’électricité, de système d’évacuation des eaux usées et de pluie ainsi que la voirie. C’est en ce moment seulement que le site sera livré aux ayants droit. Ces derniers auront au préalable reçu une indemnité correspondant aux impenses de leurs anciennes demeures. Des impenses qui seront calculées selon “ le coefficient de vétusté ” des habitations, confie M. Ndoye.
Ainsi le ministère de l’Urbanisme et de l’Aménagement du territoire, maître d’œuvre de ces travaux, veut tout faire pour délivrer les permis d’habiter bien avant le prochain hivernage. Pour soustraire définitivement ses populations des affres de l’inondation dont elles sont victimes depuis le retour du cycle de pluviométrie.
Le site de recasement ne manque pas d’atouts, selon le géomètre trouvé sur place. “ Le sol est de type Dior donc sableux. Par conséquent, l’eau de pluie va s’infiltrer facilement après chaque pluie ”, diagnostique-t-il. Une ceinture verte est également prévue dans la zone des tannes qui sépare le site de la route qui mène à Mbeubeuss. Ceci, “ pour le prémunir des nuisances que la décharge pourrait entraîner dans le futur ”, explique le chef de service départemental de l’urbanisme.
Dans cette opération de déblayage et de nettoiement du site, les cocotiers et autres arbres fruitiers qui surplombent la zone seront épargnés. “ Tout ce qui participe à l’embellissement et à l’amélioration de l’environnement sera laissé sur place ”, explique M. Ndoye. Une façon de rompre avec l’ancien mode d’habitat de ses populations qui vivaient dans une zone insalubre et les pieds dans l’eau.
ALIOU BA

L’évêque émérite de Ziguinchor victime d’un braquage : Une montre et 50 000 F emportés par les ravisseurs

L'évêque émérite de Ziguinchor Mgr Augustin Sagna, qui sert actuellement à Kabrousse, a été braqué, jeudi dernier, entre les villages de Djibonker et Darsalam, alors qu'il venait de Kabrousse pour la ville de Ziguinchor. L'évêque, qui venait à Ziguinchor pour assister à la commémoration du cinquantenaire de la présence des sœurs de la congrégation du Saint Sacrement qui débutait hier soir à 16 h, a été dépouillé de sa montre. Sa mallette qui contenait ses ornements a été épargnée. Un passager qu'il ramenait a perdu ses bagages et 50 000 F. Selon une source proche du diocèse, certains rebelles étaient contre le braquage quand ils ont reconnu I'évêque. Mais l'un d'eux a clamé son métier des armes et leur a rétorqués que “ces vieux ne disent pas la vérité et ils ne méritent pas des égards de notre part”.
B.B.SANÉ

Télé : Du racisme sur CFI-TV

La télé, rien de tel pour "soigner" une insomnie. C'est ce que nous croyions jusque-là. Mais l'autre soir, le petit écran nous a plongés dans un état d'éveil qui a duré jusqu'aux premières lueurs de l'aube. Et à défaut de compter les moutons, nous-nous sommes mis à zapper entre les chaînes du réseau MMDS.
Sur CFI-TV, nous tombons sur une rediffusion de "L'Africain", un film du début des années 80, avec comme acteurs principaux, Philippe Noiret et Catherine Deneuve. Super !, nous sommes nous dit, tout penaud de la perspective de passer au moins une heure trente de bonheur cinématographique. Mais déception : le long-métrage n'était en fait qu'une succession de clichés sur les Africains. De ces clichés si fortement ancrés dans l'inconscient de certains Occidentaux : l'image du Noir fourbe, idiot, rustre et incapable de cohérence.
Dans une des scènes du film, cette phrase d'un Grec, trafiquant d'ivoire, qui s'adressait à Catherine Deneuve au beau milieu de la brousse : "Tu sais, le Noir c'est pas méchant, mais ça pense pas plus loin qu'un babouin". Tout est dans la formulation de l'affirmation du trafiquent Grec : la chosification ("c'est pas méchant") et, surtout, la comparaison du nègre à un primate. La raison est-elle hellène ? En tout cas, le réalisateur (dont nous avons oublié le nom) utilise tous les artifices de la scénarisation pour faire passer sa pilule amère : un aéroport de brousse dont la piste ressemble à un parcours du Paris-Dakar ; des policiers Noirs tellement dingos qu'ils se tirent eux-mêmes une balle dans les pattes ; des chambres d'hôtel dégueulasses ; de la marmaille qui se balade torse nu et des femmes si ignares qu'elles utilisent des lavabos en plastiques en guise de… calebasse. Sans oublier, bien sûr, l'incontournable gazelle africaine éperdument amoureuse de son homme blanc et qui n'hésitera pas à le traîner devant le sorcier qui lui fait boire la potion d'amour. Bref, tout ce qu'il faut pour faire rire le cinéphile Blanc et dévoiler le rire banania du Nègre qui semble si heureux de sa niaiserie.
Après cela, ne soyez pas surpris si, en ce 21ème siècle, il existe encore des Occidentaux qui croient ferme à la thèse de l'Africain habitant au sommet d'un arbre. Ne vous étonnez pas non plus si, au détour d'une conversation, un Européen ou un Américain vous balance cette terrible interrogation : "Est-ce que vous avez la télé chez vous ?". Une telle question nous avait été posée par un collégien Américain lors d'un séjour, l'année dernière, aux USA. Le môme se demandait même, lorsque nous lui avions montré la position du Sénégal sur la mappemonde, comment nous avions fait pour venir jusque dans cette petite ville de Twin Falls, dans ce lointain Etat d'Idaho, pas loin de l'océan Pacifique. Dans son imaginaire de collégien Américain nourri d'images de savanes africaines, de famine et d'apocalypse tropicale, il était loin d'imaginer que des avions de ligne pourraient se rendre jusque dans une petite capitale africaine appelée Dakar.
Après avoir regardé le film "L'Africain", nous est revenu en mémoire un autre film, "Un prince à New York", long-métrage d'Hollywood dans lequel Eddy Murphie interprète le rôle d'un prince africain perdu dans la jungle new-yorkaise. Ce film, qui a connu un gros succès, n'est en fait qu'un tissu de clichés et d'images d'Epinal sur les Noirs. Et pour faire "culturellement correct", le rôle principal a été confié à un Africain-Américain. Il existe heureusement des comédiens Noirs (par exemple le célèbre Maka Koto) qui refusent systématiquement de jouer de tels rôles "bamboula", pour tout l'or du monde. Et ils n'ont pas tort…
Toute cette tirade pour dire quoi ? Enfin, juste pour rappeler que l'image, ou plutôt la mauvaise image, peut véhiculer des messages capables de façonner des consciences et donner une mauvaise… image d'un peuple, d'une communauté, d'une religion, d'un pays ou de tout un continent. Rappelez-vous l'amalgame que des intellectuels mal intentionnés (ou peut-être conscients de l'effet de leur discours sur les masses) ont voulu faire entre Islam et terrorisme au lendemain des évènements du 11 septembre à New York et Washington. Ces amalgames sont, hélas, fréquents dans l'industrie cinématographique occidentale et dans les productions audiovisuelles en général.
Heureusement qu'il y a des exceptions. Des émissions télévisées occidentales essaient de révéler un autre visage des pays du Sud. Un visage beaucoup moins misérabiliste. Comme ce magazine de la RTBF (la télé publique belge) qui montrait, l'autre soir sur TV5, un excellent portrait sur le célèbre sculpteur sénégalais Ousmane Sow, auteur de la série sur les Noubas, les Massaïs et la "Bataille de Little Big Horn". On y apprend, entre autres révélations, que cet ancien kinésithérapeute a été athée en un moment de sa vie, et qu'il a une belle villa face à la mer dakaroise…
MODOU MAMOUNE FAYE

Opérations de ratissage de l'armée à Ziguinchor : Des positions rebelles pilonnées

L'Armée nationale a entrepris, hier, très tôt dans la matinée, un ratissage des zones de repli des bandes armées du MFDC. Dans la nuit du jeudi au vendredi, et ce jusqu’en fin de matinée, les pilonnages à l'artillerie lourde étaient perceptibles au niveau du centre ville de Ziguinchor.
Selon nos sources, ce sont des batteries de 155 mm utilisées lors des événements de Guinée-Bissau de juillet 2000 dernier qui sont entrées pour la première fois en fonction pour sécuriser les localités qui sont en proie à des braquages d'éléments armés. Depuis un certain temps, l'on a constaté une recrudescence des braquages et autres actes de pillages systématiques des localités des départements de Ziguinchor.
Conformément aux propos du général Babacar Gaye qui affirmait, lors de l’installation du nouveau commandant de la zone 5, que l'armée allait tout faire pour garantir la sécurité des biens et des personnes des régions du Sud, les éléments du commandant de Zone Matar Guèye, ont entrepris, dès hier, des opérations “d’assainissement” pour terroriser ceux-là qui, depuis des semaines, tentent de semer la terreur dans les secteurs de Nyassia, Niaguis, et même le secteur de Diouloulou où des honnêtes citoyens ont été dépouillés en toute impunité de leurs biens. Ces opérations, qui risquent de s'inscrire dans la durée, permettront, espérons-le, de diminuer sensiblement les actes de banditisme notés sur les routes du Sud.
B.B. SANE

Planete-Senegal.com

Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouveau bulletin de Planete-Senegal.com. J'en profite pour demander à ceux qui ont correspondu avec moi avant septembre 2001 de m'envoyer à nouveau leurs coordonnées puisque téléphones et e-mails ont été perdu en même temps !!! Concernant l'un des articles du Soleil que j'ai pensé bon de reporter ici et qui traîte du film "l'Africain" avec Catherine Deneuve et Philippe Noiret, je tenais à exprimer mon dégoût contre toute cette catégorie de gens qui sont complexé par leur "Africanité". Cet abruti du Soleil qui condamne cette comédie qu'il taxe de raciste n'est certainement jamais sorti de sa case dakaroise. Il voudrait certainement que lorsque qu'un film est tourné à Dakar, on ne montre que l'Avenue Pompidou et les quartiers résidentiels de FANN, qu'on ne montre comme hôtel que le Novotel, comme gosses que ceux qui sortent des Maristes et comme aéroport que l'aéroport S.Senghor. Hé bien non. Les aéroports du Sénégal ne sont pour la plupart qu'en latérite, les hôtels des villes secondaires sont souvent sordides, 99% des gosses d'Afrique courent torses nus (et je ne vois pas en quoi ça dérange cet abruti de "journaliste"), 90% des fonctionnaires sont corrompus ( pour ne pas dire 100% dans des républiques bananières comme la Guinée-Bissau, le Zaïre, le Togo, etc...) voir même illettrés. Ce travers de pseudo journaliste montre un syndrome qui se répand au Sénégal de gens qui connaissent leur pays aussi bien que moi je connais les eskimos du Groënland. Le journaliste relate des faits et n'a pas à donner son avis. Leur bêtise est la plus grande ennemie de la liberté de la presse. Quand à l'art, tout ce qui s'y rapproche est combattu par la plupart de ces ânes. Enfin bon, chacun doit mettre à l'épreuve de son intelligence. 

Pour passer de l'âne au coq, je vous transmets le message de mon ami Alphonse qui détenteur d'un visa d'un mois en France chercher à terminer ses études de comptabilité dans le Sud de la France. Il recherche donc quelqu'un qui puisse l'héberger le temps d'obtenir ses inscriptions dans une école supérieure et qui puisse l'aider à connaître mieux le pays. Actuellement en région parisienne, il souhaite en effet s'installer en province le temps de trouver un travail. Vous pouvez le contacter sur son e-mail alphonse.dioh@caramail.com. Il n'hésitera pas à vous donner un petit coup de fil !

Un autre document disponible sur Planete-Senegal.com en réponse aux nombreuses demandes (et après ça on va dire que je ne vous écoute pas....) : Le dossier complet de demande visa pour la France pour les citoyens Sénégalais (prix, formulaire officiel, pièces demandées, conseils etc...) : TELECHARGER au format ZIP

A bientôt sur planete-senegal.com et n'hésitez pas à participer à ce bulletin ou à m'envoyer des petits mails sympa 
Pour ceux qui voudrait m'aider : TOUTES LES BONNES VOLONTES SONT LES BIENVENUES car c'est un travail énorme. En période de pointe je reçoit près de 100 mails du monde entier dans la journée rien que pour Planete-Senegal.com !
Appel à photo (ter)! Je manque beaucoup de photos sur le Sénégal, la Gambie et la Guinée-Bissau. Je suis un piètre photographe mais surtout je ne prends plus de photos dans ces trois pays depuis que j'y suis chez moi. Tous ceux qui aurait la gentillesse de m'envoyer leur photos (y'a pas de mauvaises photos ou de mauvais sujets !) sur ces trois pays (je suis en train de faire guinee-bissau.net et gambiennement.com, non non je ne blague pas !) peuvent me les envoyer (au format jpg, maximum 150Ko la photo). Leur nom sera évidemment marqué sur la photo. Un bon moyen de partager vos expérience ! Merci d'avance. Christian

Messages des Senegaliens.

Le Forum de Senegalaisement
  www.planete-senegal.com/forum/

Bonjour à tous.
Je suis à la recherche d'un ancien camarade de classe qui s'appelle Momar Mbaye et qui était étudiant en 1993 à Rouen au département d'histoire.Nous étions ensemble au lycée Valdiodio Ndiaye de Kaolack;il aurait quitté Rouen pour PARIS. PRIERE A TOUTE PERSONNE QUI LE CONNAIT DE NOUS METTRE EN CONTACT. MERCI*********

Par nathalie le dimanche 09 décembre 2001 - 12h56:

bonjour
je recherche pour la famille DENIER (france)
d'anciens amis du sénégal dont un mr SARR Moussa de Dakar
merci de bien vouloi m'aider dans cette recherche

Je recherche un ami sénégalais se trouvant à Saly,
il s'appelle Ibrahim Sarr, il travaillait sous peu à la résidence du village, et son numéro de téléphone était le 6636680 mais malheureusement c'est une autre personne qui réponds, si quelqu'un pourrait m'aider, j'en serai très reconnaissant.Merci

bonjour à tous!
je suis française étudiante en bts tourisme et j'aimerai savoir si quelqu'un peut m'aider pour un exposé:je dois convaincre pendant 15 minutes (en anglais)de partir en voyage à dakar ...si vous pouvez m'aider merci énormément, mon adresse e-mail est:th.emie@caramail.com.A BIENTOT...

Foncez donc vite sur le Forum pour ré-alimenter la page et répondre à ces messages.
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Infos diverses

= Deuxième édition du festival "1, 2, 3 musiqueS" : Un, deux, trois…. Comme trois jours de notes chaudes et colorées. Musiques avec un grand S pour bien marquer la pluralité de la programmation proposée. 1, 2, 3 musiqueS c'est le premier grand rendez-vous de Saint Louis avec les musiques du monde… C'est à Saint Louis parce que la cité est classée au Patrimoine Mondial par l'UNESCO et qu'à ce titre elle fait partie des sites de " valeur universelle exceptionnelle " et constitue un écrin sans égal pour de telles manifestations.Le Festival 1, 2, 3 musiqueS se tiendra donc à Saint Louis les 21, 22, 23 février au Flamingo, sur les rives du fleuve Sénégal. Une bonne occasion pour programmer un voyage à Saint-Louis ou simplement un petit détour si vous résidez ailleurs au Sénégal.

= Le Festival Casamançais d'Abéné, une des plus grandes manifestations de l'année va se dérouler dans le petit village d'Abéné au bord de sa plage de rêve DU 24 DECEMBRE 2001 AU 02 JANVIER 2002. Ne vous posez plus la question de savoir où vous allez passer les fêtes !!! Groupe Ucas, Orchestre Casaçais - Ilan Mané avec Groupe Calone, Percussion Caroninké - Black Sofa, Percussions et danses acrobatiques Ouest-Africaines - Keba Roumba, Percussion aux congas Africains - Ballet Kute Diombulu, Percussions et danses Ouest-Africaines - Djiambantang de Kafountine, Théâtre, danse et chant traditionelle - Troupe théâtrale de Bandjikaki, Groupe de théâtre traditionnel travaillant sur des thèmes précis - La Forêt Sacrée, Percussion et danse Casamançaises et Ouest-Africaine - Ballet Bitiniba, Percussion, danse et sketches - Diambadong, etc...Stages de danse et percussion par Malo Sonko, Amy Camara e.a. Comité d’Organisation du Festival, 02-99-39-34-26 (France) / + 221 936 95 42 (Sénégal) / www.alnaniking.co.uk

Cette rubrique vous est consacrée. Si vous avez un message à passer n'hésitez pas à me le communiquer (qu'il soit de nature personnelle, commerciale, associative etc...)

L'Asso du jour

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Le site du jour

Si vous avez fait un site parlant du Sénégal, et voulez le voir paraître dans cette rubrique, n'hésitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'êtes pas un webmaster chevronné (!) et voulez voir votre expérience publiée sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail (webmaster@planete-senegal.com) vos textes et photos qui seront transformés en page web sur le serveur planete-senegal.com.

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