Bulletin N�34 de Planete-Senegal.com
1- Infos du jour (aujourd'hui le Soleil, l'AFP et Walfadjiri) 2 - Nouvelles de senegalaisement et des cours de wolof 3 - Les messages des s�n�galiens 4- La m�t�o du jour (aujourd'hui K�dougou) 5- Infos diverses (Maison � louer, Nouvelles et f�tes, l'agenda, ) 6- L'Association du Jour (JIC) 7- Le site du jour (Le site d'Adja Mbaye) 8 - Le chanteur du jour (Chorale de Casamance) 9- L'auteur du jour (Fatou Ndiaye SOW) |
Infos du Jour
(les articles entiers sont disponibles sur la page Infos/m�dias de www.planete-senegal.com)
�lectrification rurale au S�n�gal : Les outils d�intervention valid�s
� Je crois que la voie est balis�e aujourd�hui pour les bailleurs de fonds qui sont nos partenaires, et pour le gouvernement, pour que les premi�res op�rations d��lectrification rurale, les projets-pilote, puissent �tre mont�s, puisque c�est une d�marche novatrice qui est une premi�re en Afrique de l�Ouest et nous voulons que tous ces outils soient test�s sur le terrain, en tenant compte de la r�alit� sociologique de notre pays, mais �galement de la r�alit� de notre monde rural �.
Au terme, avant-hier, des travaux consacr�s � la validation des outils de financement et de fonctionnement de l�Agence S�n�galaise d�Electrification Rurale, M. Ibrahima Thiam, son directeur g�n�ral, estime que les m�canismes n�cessaires ont �t� bien d�finis pour permettre le lancement des premiers projets d��lectrification rurale. � Je peux dire donc qu�au terme de ce s�minaire, nous avons valid� l�ensemble des outils d�intervention de l�ASER, sous r�serve des recommandations qui ont �t� faites par les participants pour parfaire un certain nombre de documents. Nous avons adopt� un projet de d�coupage du territoire national, en fonction de l��lectrification rurale �, a-t -il soulign�.
Et que par cons�quent, la priorit�, aujourd�hui, pour l�agence, demeure le montage des projets-pilote, pour tester les outils qui ont �t� d�finis. � Les premi�res op�rations d��lectrification rurales, dans le cadre de la dynamique de l�ASER, vont �tre lanc�es bient�t �, souhaite M. Thiam. Cette structure, charg�e de promouvoir l��lectrification dans le milieu rural, doit avoir une large autonomie dans la mobilisation de ressources de financement, pour soutenir les efforts de l�Etat qui est l�initiateur unique supportant jusque-l� la totalit� des financements. Il s�agissait donc, pendant ces deux jours de travaux, de lever un certain nombre de contraintes sur lesquels buttent les objectifs de l�ASER.
� Nous avons, pendant ces deux jours, replac� l��lectrification rurale dans son caract�re sp�cifique et prioritaire, puisque relevant � la fois du domaine commercial et de l��quipement rural �, affirme M. Ibrahima Thiam. La centaine d�experts qui a pris part aux travaux ont d�fini un cadre institutionnel � novateur �, puisque consid�r� comme s�curisant pour les usagers ruraux qui vont s�adresser aux op�rateurs mais aussi et surtout un cadre � motivant � et � attractif � pour les priv�s, qui vont s�int�resser aux op�rations d��lectrification rurale. Des minima techniques et des r�gles environnementales, qui permettent d�all�ger substantiellement le co�t de r�alisation des ouvrages, ont �t� �galement d�finis. � Le troisi�me aspect est que nous avons pu d�finir un m�canisme financier qui soit cr�dible et qui permettra � l�ensemble des acteurs du secteur de l��lectrification rural d�op�rer dans un cadre transparent et fiable. Ainsi qu�une esquisse des crit�res d��ligibilit� aux subventions que l�ASER est susceptible d�apporter aux op�rateurs d��lectrification rurale �, soutien le directeur g�n�ral de l�ASER.
Il s�est dit convaincu que l��lectrification rurale demeure un facteur de limitation de l�exode rural et un excellent moyen de lutte contre la pauvret�, notamment par l�introduction d�activit�s g�n�ratrices de revenus. Ce qui fait d�elle une priorit� du gouvernement, sachant surtout que, comme l�a rappel� M. Thiam : � le niveau de d�veloppement d�un pays se mesure aussi par le niveau de consommation d��lectricit� par habitant �. D�ores et d�j�, l�ASER peut compter sur l�appui du gouvernement qui, de l�avis du directeur de cabinet du ministre de l�Energie et de l�Hydraulique, ne m�nagera aucun effort pour appuyer le programme.
ADAMA MBODJ (Le Soleil)
Ils voulaient se rendre aux Etats-Unis avec de faux visas
ABOUBACAR TITY CONTE ET ISMA�LA CAMARA, deux ressortissants guin�ens, devaient conna�tre, hier, le sort que leur r�servait le pr�sident du tribunal aujourd�hui. Ils avaient �t� appr�hend�s au moment o� ils tentaient de quitter le S�n�gal pour les Etats-Unis. Le hic, dans leur m�saventure, c�est qu�ils disposaient de faux documents. Ils �taient ainsi poursuivis pour faux et usage de faux. Les deux compagnons d�infortune avaient quitt� leur Guin�e natale pour se rendre en C�te d�Ivoire par la route, avec l�id�e de se faire confectionner des pi�ces pour �migrer. Au lieu de s�adresser � la repr�sentation diplomatique am�ricaine, seule habilit�e � fournir le pr�cieux visa, ils avaient pr�f�r� s�adresser � un marchand de r�ve. Ils avaient remis au quidam la bagatelle de 600.000 francs, pour qu�il leur trouve un visa. Une fois le faux document en poche, Cont� et Camara avaient pris la direction de Dakar o� s�arr�ta leur projet. Interrog�s sur les raisons de leur pr�sence dans notre capitale, ils avaient r�pondu aux policiers qu�ils �taient venus rendre visite � une tante qu�ils avaient perdue de vue depuis 17 ans.
Du fait de la fr�quence de ce genre d�entreprises qui �chouent � Dakar, le procureur s�est demand� si l�image de l�a�roport L�opold S�dar Senghor n�en prendrait pas un sacr� coup. Car � ce rythme, il risquerait de devenir la plaque tournante des voyageurs munis de faux documents, se d�sola le procureur. En r�action � cette sonnette d�alarme, l�avocat de la d�fense a, lui, jou� sur le registre du crit�re de la nationalit� dans la sanction. Tout en reconnaissant les accusations port�es sur ses clients, il a mis la tentative des Guin�ens sur le compte de la pauvret� de leur pays. Contrairement au procureur qui a requis une peine de deux mois ferme, il a demand� une application bienveillante de la loi.
MALICK CISSE (Le Soleil)
Gamou de Serigne Samba Fall : Le souvenir d�un grand ma�tre des sciences occultes
L�EDITION 2001 DU GAMOU de Serigne Samba Fall de Kaolack a v�cu. Cette manifestation, � l�honneur du meilleur des �tres, Seydina Mohamed (PSL) �tait plac�e sous la haute autorit� du khalife g�n�ral des Tidianes, Seydy Mouhamadou Mansour Sy. Elle a �t� dirig�e par le khalife de Serigne Samba Fall, El hadj Mansour Fall et l�imam de la mosqu�e de Kasnack Serigne Mbaye Fall.
Ce grand �v�nement a �t� marqu� par la pr�sence des nombreux parents et disciples que comptait ce grand �rudit form� � l��cole de Cheikh Al Hadj Malick Sy. En effet, Serigne Samba Fall a �duqu� et form� beaucoup de personnes, et rendu service � beaucoup d�autres. En outre, il ma�trisait le � Asraar � (sciences secr�tes).
Ainsi, El hadj Mansour Fall, l�initiateur du Gamou, en collaboration avec ses fr�res, cousins, parents et amis du S�n�gal, de la Gambie, de la Mauritanie et de ceux qui vivent ailleurs � travers le monde, a le m�rite d�avoir d�sormais inscrit ces retrouvailles dans le calendrier des plus importantes rencontres religieuses du pays. Ce que El hadj Tafchir Sakho Elimane dit � Baye Tam �, qui a dirig� la veill�e religieuse, a su expliquer avec le talent qu�on lui conna�t.
Quant au khalife El hadj Mansour Fall, il a magnifi� � l�engagement total et ferme dont ont fait montre les participants � chacune des �ditions du Gamou de Serigne Samba Fall. Une fa�on de perp�tuer l��uvre de notre guide, qui, toute sa vie durant, a �t� � la disposition de ses fr�res en islam, en g�n�ral, et de la Tidianiya en particulier �.
KHALY TALL (Le Soleil)
Keur Yorodou : Le casse-t�te de l�eau : Tourkas et Bambaras s�accrochent � leurs traditions
LA PARTICULARITE ET LA SPECIFICITE de Keur Yorodou est qu�il est l�un de ces rares villages du Saloum qui vit pleinement le n�cessaire brassage des peuples unis dans leur diversit�. En effet, dans cette bourgade pour le moins centenaire, Bambaras et Tourkas vivent en parfaite harmonie avec les Ouolofs, m�me si parfois, apparaissent des divergences fondamentales vite aplanies par gr�ce � la diligence des sages des deux camps. Le village, en fait, est divis� en deux entit�s et renferme deux communaut�s ; les Ouolofs et celles des Bambaras et Tourkas, tous vivant dans deux quartiers distincts. Chaque quartier est d�ailleurs sous l�autorit� d�un chef de village.
Le premier Bambara arriv� � Keur Yorodou est Mamadou Doucour�, originaire du campement (Latmingu�). Il a �t� re�u avec sa famille par Balla Ndao. Il y a de cela plus d�un demi-si�cle. Pour leur permettre de bien s�installer, ce dernier d�coupe le village en quatre parties. Tout le Nord est attribu� aux Bambaras � des fins d�habitation et d�exploitation agricole. L�est, l�ouest et le sud revenaient aux Ouolofs. Les deux communaut�s ont v�cu en parfaite harmonie et ensemble durant dix bonnes ann�es. Pendant cette p�riode, les deux camps �taient sous l�autorit� d�un seul chef de village. La s�paration est intervenue au terme des dix premi�res ann�es pour des raisons diversement appr�ci�es.
Selon les Ouolofs, les pratiques traditionnelles des Bambaras et des Tourkas �taient incompatibles avec celles des Ouolofs, plus pr�cis�ment avec celles de la religion musulmane, bien que toutes les deux communaut�s soient de la m�me confession. Pour les Bambaras, les Ouolofs, dirigeant le village, prenaient toujours partie pour leurs parents � chaque fois qu�il y a un probl�me entre un des leurs et un Bambara. Face � cette m�sentente, les Bambaras ont nomm� Mamadou Doucour� �chef de village� bambara. Mais en r�alit�, �ce village� n�est qu�un quartier de Keur Yorodou. Vingt-cinq ans apr�s, Bangali Diop succ�de Mamadou Doucour�. Malgr� cette division, les deux ethnies semblent cohabiter de fa�on sinc�re et entretenir de tr�s bonnes relations. Cependant, Bambaras et Tourkas tiennent toujours � leur tradition et � l�exercer dans la pl�nitude du terme. �Vous savez, renoncer � notre tradition, c�est renier nos origines, c�est tourner le dos � une partie de nous-m�mes.A ce que je sache, il n�y a aucun mal quand il y a c�r�monie familiale de sortir balafons, djemb�s et � donzo ngony � (grand instrument sous forme de kora utilis� au Mali par les chasseurs traditionnels). C�est notre culture et nous ne nous sentons nous-m�mes que quand nous nous abreuvons dans nos sources musicales et rythmiques�, a soutenu Issa Traor�. D�ailleurs, ce folklore bambara et tourka compte beaucoup d�adeptes chez les Ouolofs, surtout les jeunes de Keur Yorodou et des villages environnants qui ne ratent jamais les f�tes endiabl�es du �pays bambara�.
LE BAOBAB SACRE :
Cependant, il n�y a pas que le balafon et les djemb�s qui rythment la vie des Bambaras et Tourkas de Keur Yorodou. Fervents musulmans, ces deux ethnies, originaires du Mali et du Burkina Faso, n�en demeurent pas moins attach�s aux pratiques traditionnelles, comme le sacrifice au niveau du baobab sacr�. Il s�agit d�un baobab qui se trouve au nord du village sur la route qui m�ne � Keur Mor Sout�. Personne dans ce village ne peut s�aventurer � dire depuis quand cet arbre exceptionnel est l�. �La personne la plus �g�e de Keur Yorodou l�a connu tel qu�il est aujourd�hui, c�est-�-dire majestueux et impressionnant�, souligne-t-on dans ce village. Ce baobab est hant� ou plut�t il est habit� par des esprits et une fois la nuit tomb�e, personne n�ose s�aventurer dans ces environs, ajoute un autre. En effet, ils ont �t� nombreux � avoir vu le diable et � �tre tomb� malade, apr�s avoir emprunt� ce chemin, les �trangers, surtout, qui ignorent jusqu�� l�existence de ce baobab. Cet arbre, cependant, n�a pas de secret pour les Tourkas qui, une fois l�an, s�adonnent � des c�r�monies rituelles autour du baobab sacr�. Dans cette incursion dans le monde des anc�tres et des esprits, ils entra�nent, naturellement, les voisins bambaras avec qui ils partagent certaines valeurs culturelles.
Il ne s�agit ni plus ni moins que des sacrifices pour implorer les esprits pour un bon hivernage, la satisfaction des v�ux, mais surtout � faire revenir la pluie. Des poulets sont �gorg�s et le sang vers� sur les �normes racines de l�arbre. Dans la plupart des cas, la pratique est suivie d�effets positifs.
MAMADOU CISSE (Le Soleil)
Keur Yorodou : Le casse-t�te de l�eau :Quand trouver de l�eau devient un luxe
EN CE VENDREDI DU MOIS DE MARS, la chaleur est � son paroxysme. Un soleil de plomb crache des laves de feu sur cette partie du Saloum o� la v�g�tation se fait de plus en plus rare. Il est midi et le thermom�tre affiche d�j� 42 degr�s � l'ombre. Malaw, le chauffeur de taxi qui a pour charge de nous conduire � Keur Yorodou fait un peu de z�le, conscient que la partie ne sera pas de tout repos. Derri�re ses lunettes noires fum�es se cache une mine frileuse. Muet comme une carpe, le � driver � particulier l�chera, cependant, quelques brides de mots juste � l'entr�e de Daga Youndoum, un village bambara se trouvant sur notre chemin. C'�tait juste pour taquiner une jeune femme peule � la d�marche provocatrice qui traversait le chemin. Plus nous roulions vers l'est, plus la canicule devenait intenable. Il est vrai qu'avec le vent chaud et sec qui soufflait ce jour-l�, les langues arrivent � peine � se d�lier. Mais comme Malaw connaissait le chemin, nous arriv�mes tr�s rapidement � Keur Yorodou. Le village �tait enfin l� devant nous, �talant de grandes all�es nues comme un �uf. Seule une dizaine de femmes s'affairaient autour d'un puits situ� au centre du village. Les hommes eux, comme la plupart du temps, discutaient sous l'arbre � palabres pour trouver une solution � leur �ternel et seul probl�me : l'eau. D'une population de 589 habitants � cent pour cent musulman, Keur Yorodou renferme deux communaut�s : les Ouolofs et les Bambaras.
Si l�on fait un peu de l�histoire, c'est vers 1900 qu'un patriarche peul d�nomm� Yorodou, originaire de Thikatt confront� � des probl�mes d'eau et de p�turage pour satisfaire les besoins de sa famille et de son important cheptel, quitte sa localit� d'origine pour s'installer dans cette partie du Saloum, plus propice pour ses activit�s. Ainsi Keur Yorodou est n� des �uvres de ce fondateur qui, avant sa mort, creusa trois puits dont l'eau �tait toute saum�tre. Vers 1914, Mamour Diabo Sakho Ndaw et Balla Ndaw quittent Keur Ta�ba (Gandiaye) en raison de la pauvret� et de la raret� des sols dans ce terroir qui ne pouvait plus r�pondre aux besoins en nourriture de leurs d�pendants. Mamour Diabo s'installe � Keur Yorodou puis devient chef de village et avec l'appui du commandant de cercle de Kaolack, un colon nomm� Doni il obtient un puits.
C'est dire que le probl�me du manque d'eau de Keur Yorodou ne date pas d'aujourd'hui m�me si avec le d�veloppement humain constat� apr�s les ind�pendances dans le milieu rural, la probl�matique est devenue plus ardue. Le peu d'eau tir�e des quatre puits qui constituent la seule source du village est inutilisable pour l'alimentation humaine et m�me le linge. Elle sert plut�t � l'abreuvement du b�tail et aux pr�parations culinaires. Pour s'approvisionner en eau douce et potable, les populations pour ne pas dire les femmes du village sont oblig�es de se d�porter vers Keur Mamour L�, un autre village situ� � cinq kilom�tres de Keur Yorodou. � Nous sommes oblig�es de nous lever chaque jour que Dieu fait � 5 heures du matin soit pour puiser de l'eau saum�tre � partir de nos puits ou bien nous rendre � Keur Mamour L� en charrette pour les plus nantis et � pied pour les autres � soutient la pr�sidente du groupement des femmes, Awa Dram�.
Cette derni�re regrette d'ailleurs la surcharge des activit�s des femmes dans ce village. � Tout au long de l'ann�e, dit-elle, les femmes s'adonnent � la recherche de l'eau douce � trois kilom�tres de Keur Yorodou, aux autres travaux domestiques, � la recherche du bois de chauffe, aux activit�s champ�tres et post-r�coltes, � la teinture, � la cueillette, � la gestion du moulin etc. Il faut cependant noter que ce statut particulier des femmes de Keur Yorodou ne constitue gu�re un cas isol� dans le Saloum o� la gent f�minine est consid�r�e comme � un outil de travail �. Il faut donc � la fois une reconversion des mentalit�s et un appui fort de l'Etat en �quipements d'all�gement des travaux de la femme en milieu rural. On sait bien que leurs s�urs des villes qui, entour�es de bonnes � tout faire et de boys, sont loin de vivre les m�mes situations, ces privil�gi�es et autres hadjas des temps modernes.
Mamadou CISSE (Le Soleil)
FESTIVAL INTERNATIONAL DE PROGRAMMES AUDIOVISUELS DE BIARRITZ
"S�n�gal-Salsa" est le titre du film-documentaire pr�sent� par le jeune s�n�galais, Moustapha Ndoye � la quatorzi�me �dition du Festival international de programmes audiovisuels (Fipa) de Biarritz en France. Pour �tablir sa s�lection 2001, Pierre Henri Deleau, l'un des responsables du Fipa, a visionn� 1871 programmes venus de 73 pays pays diff�rents. 126 ont �t� retenus en comp�tition. La rencontre qui s'est tenue du 15 au 21 janvier 2001 a vu la cons�cration du jeune photographe-r�alisateur Moustapha Ndoye dans la cat�gorie "Musique et Spectacles". Ce dernier a d�croch� le troph�e d'argent de l'�dition 2001 du Fipa pour son documentaire "S�n�gal-Salsa". Pour un coup d'essai dans le secteur de l'audiovisuel, ce fut donc un coup de ma�tre. Pape Gora Seck(image et montage), Abdou Diouf (son) ont marqu� de leur empreinte "S�n�gal-Salsa".
Le film de 55 minutes rappelle de bons souvenirs aux nostalgiques de l'�re salsa. Les sals�ros comme Labba Sosseh, Maguette Ndiaye, Pape Seck, Joe Mambaye, Lynx Tall, Amara Tour�, Mady Konat� entre autres �taient au sommet de leur art. Moustapha visite les lieux mythiques de ces moments de fi�vre salsa dans les ann�es 50-80. Avec des documents d'archives, le jeune r�alisateur n� en 1968 nous fait revivre cette belle �poque rendue �mouvante par des t�moignages de Isseu Niang, Joe Mambaye, Bira Gueye, Pape Fall, Labba Sosseh, Rudi Gomis, Nicolas Menheim...
Moustapha Ndoye a fait ses premiers pas dans la photographie. L'image l'a toujours passionn�. Le jeune l�bou de Dakar se bonifie au fil des ann�es sur des plateaux de tournage de films de grands r�alisateurs comme le regrett� Djibril Diop Mambetty. Il gagne en exp�riences et se lance dans l'audiovisuel parall�lement � ses activit�s de photographe. Ouvert et disponible, ces qualit�s humaines ont valu � Moustapha Ndoye, ce prot�g� de Joe Ouakam, une riche exp�rience artistique � revendre.
A. CISSE (Sud Quotidien)
Mobile : La SONATEL honore son 200.000e abonn�
Pour c�l�brer son 200.000�me abonn� de t�l�phone mobile, la SONATEL a organis�, mardi dernier, une c�r�monie � la salle de conf�rence de la Chambre de Commerce de Thi�s. En pr�sence de plusieurs personnalit�s dont le gouverneur de Thi�s, Idrissa Camara, Alioune S�ye, ma�tre de la c�r�monie, a soulign� le symbolisme de la c�r�monie. Le 200.000�me abonn�, Momar D�me, originaire de l�arrondissement de Keur Moussa, avait du mal � cacher son �motion. Il s�est r�joui d�avoir obtenu un t�l�phone portable qui lui permet de communiquer avec les autres en tout temps et en tous lieux. A son avis, �le t�l�phone ne doit pas �tre per�u comme un luxe ni comme un jouet, mais comme un instrument de travail utile et valable dans toutes les activit�s professionnelles�. M. D�me, qui est un mara�cher, a ensuite mis l�accent sur les avantages du t�l�phone cellulaire qui, a-t-il dit, limitera ses d�placements et les frais y aff�rents, mais aussi permet de faire r�agir � temps les parents et les services de secours en cas de catastrophe ou de danger.BEN CHEIKH (Le Soleil)
Planete-Senegal.com
Bienvenus � tous pour ce nouveau bulletin Planete-Senegal.com.
Au retour du Soleil ! 2 sites à visiter absoluement :
Le site de l'auberge saint-louisienne "La Louisiane" : www.lalouisiane.fr.fm
Le site de l'auberge aw-bay à Ziguinchor : www.aubergeawbay.fr.fm
Une bonne occasion pour rappeler à toutes les structures hôtelières, quelles que soit leur taille, que leur présence sur le web est importante et que Planete-Senegal.com offre cette présence TOTALEMENT gratuitement. Il suffit de me contacter !
Les actualités sont très nombreuses et ne peuvent toutes tenir sur un bulletin.Rendez-vous dans le prochain.
Rappel : "Le journal du Pays casaman�ais" est sorti et disponible ici en t�l�chargement. Il donne une version diff�rente du discours du gouvernement s�n�galais de ces 30 derni�res ann�es. La liberté d'expression et de la presse doit subsister malgrè les ennemis de la démocratie. .
Un autre document disponible sur Planete-Senegal.com en r�ponse aux nombreuses demandes (et apr�s �a on va dire que je ne vous �coute pas....) : Le dossier complet de demande visa pour la France pour les citoyens S�n�galais (prix, formulaire officiel, pi�ces demand�es, conseils etc...) : TELECHARGER au format ZIP
A bient�t sur planete-senegal.com et n'h�sitez pas � participer � ce bulletin
ou � m'envoyer des petits mails sympa
Pour ceux qui voudrait m'aider : TOUTES LES BONNES VOLONTES SONT LES BIENVENUES car c'est un travail �norme. En p�riode de pointe je re�oit pr�s de 100 mails du monde entier dans la journ�e rien que pour Planete-Senegal.com !
Appel � photo (ter)! Je manque beaucoup de photos sur le S�n�gal, la
Gambie et la Guin�e-Bissau. Je suis un pi�tre photographe mais surtout je ne
prends plus de photos dans ces trois pays depuis que j'y suis chez moi. Tous
ceux qui aurait la gentillesse de m'envoyer leur photos (y'a pas de mauvaises
photos ou de mauvais sujets !) sur ces trois pays (je suis en train de faire
guinee-bissau.net et gambiennement.com, non non je ne blague pas !) peuvent
me les envoyer (au format jpg, maximum 150Ko la photo). Leur nom sera �videmment
marqu� sur la photo. Un bon moyen de partager vos exp�rience ! Merci d'avance.
Christian
Messages des Senegaliens.
(disponible �galement sur le nouveau forum de
planete-senegal.com � www.planete-senegal.com/forum/) :
MESSAGE SPECIAL |
Salut Christian, C'est avec un r�el plaisir que je t'envoie ce message, �tant moi-m�me un inconditionnel de Planete-Senegal.com dont je fais la pub au niveau des s�n�galais de Troyes et de mes amis fran�ais pour une meilleure d�couverte du S�n�gal. J'en profite pour vous raconter notre probl�me avec monsieur Potier du consulat de France. Nous sommes un groupe de reggae s�n�galais (voir biographie) qui vient depuis 1994 en France. Donc on fait des aller- retours entre Dakar et Troyes. A chaque fois que nous demandons un visa long s�jour, le consulat nous fait rater nos premi�res dates et nous d�livre des visas de 21 jours � 2 mois. En 1998,on est rest� quelques temps en irr�gularit� car nous avions saisi le charg� culturel de l'ambassade du S�n�gal � Paris Mr Kane pour une prolongation de nos visas. Mr Kane n'a pas pu se pr�senter au rendez vous pris � la pr�fecture de Paris, car la date co�ncidait avec une visite de l'ancien pr�sident s�n�galais en France. Une fois � la pr�fecture, on nous dit que Mr Kane devait pr�senter ses excuses pour avoir rat� le rendez vous . Une situation qui nous a mis dans l'embarras car � cause de ce probl�me, la pr�fecture nous fait une prolongation d'une semaine, ce qui �tait impensable, car on avait commenc� l'enregistrement du troisi�me album, et on ne pouvait pas retourner � Dakar , car aussi il nous restait des concerts � faire. Apr�s quelques mois d'irr�gularit�, nous sommes partis de notre propre chef demander un entretien avec Mme GARCIA du bureau des �trangers � la pr�fecture de l'Aube � Troyes . Avec le soutien de nombreuses personnalit�s, on a pu obtenir de la pr�fecture un arrangement, car on �tait conscients qu'on �tait expulsable. Donc la pr�fecture nous donnait deux semaines pour lui pr�senter des billets de retour � DAKAR pour refaire des d�marches pour l'obtention d'un visa long s�jour d'artistes ce qui nous permettrait de demander une carte de s�jours artistes. Ce qui a �t� fait, donc nous sommes partis � Dakar mais avec des contrats pour des concerts � honorer � notre retour en France. Une fois � Dakar , impossible d'avoir un visa pour revenir en France dans les d�lais pr�vus pour les concerts, malgr� tous les papiers pr�sent�s. Mr Potier tenait � ce que je me pr�sente physiquement au consulat bien que j'aie fourni une photocopie l�galis�e de ma carte de s�jour que j'avais joint au dossier de demande de visa des membres du groupe. Je suis parti expr�s � Dakar me pr�senter au consulat mais l� aussi il trouve un autre pr�texte pour ne pas d�livrer le visa. Nous avons saisi alors le ministre de la culture du S�n�gal qui a fait une demande pour le groupe au nom de son minist�re mais rien n'y fait. Je suis revenu en France o� avec des amis de Amandla � Troyes et notre promoteur ( qui � chaque fois qu'il appelle le consulat tombent sur de bonnes femmes qui lui r�pondent d'une mani�re pas du tout polie) on a saisi le Secteur Afrique du minist�re fran�ais des affaires �trang�res pour une intervention. Le consulat r�pond que je ne me suis pas pr�sent� malgr� le billet d'avion que j'ai mis dans le dossier. Ce qui est pour moi une mauvaise fois car j'avais m�me dit aux femmes qui �taient au guichet au consulat que c'�tait moi qui manquais que je suis revenu expr�s � Dakar. Il a fallu une pression du Service Afrique pour que Mr Potier consente � donner un visa de 21 jours � la place de plus de 3 mois demand�s. La pr�fecture de l'Aube nous refait une prolongation et nous demande de retourner � Dakar pour demander un visa long s�jour pour pr�tendre � une carte de s�jour artiste. Un des membres s'�tant mari� avec une fran�aise, on a voulu que les deux autres repartent � Dakar pour pouvoir revenir le 2 d�cembre 2000. �tant entendu qu'on ne veut plus �tre irr�guliers et qu'on ne peut plus passer notre temps � faire des d�marches administratives aux d�triments de la musique, les 2 membres ont pr�f�r� repartir d�s l'expiration de leur visa pour pouvoir en solliciter et revenir, et l� re belote, le consul recommence, demandant toute sorte de papiers et � chaque fois que les 2 se pr�sentent avec le document demand�, il leur exige autre chose et c'est la m�me histoire depuis d�cembre. J'ai entendu Mr Potier dire au t�l�phone � Mme Garcia de la pr�fecture de Troyes qu'il en fait un probl�me personnel, car on l'a nargu� en faisant intervenir des gens, ce qu'il n'a pas du tout appr�ci� et il revient toujours sur notre pass� d'irr�guliers. Je pense qu'il fait tout pour d�cimer le groupe. On a renonc� � tout pour Amandla et je trouve inadmissible que notre avenir , tout le travail et les sacrifices consentis depuis 1988 d�pendent de l'humeur d'un homme rancunier , sans cour qui abuse de son pouvoir. On perdu beaucoup d'argent dans cette histoire, des billets d'avion, annuler plus d'une vingtaine de concerts, annuler un tournage de clip et le pire nous sommes class�s par les organisateurs de spectacles comme groupe � risques Je demande � toutes les personnes �prises de justice de nous aider dans ce combat que nous menons et que nous continuerons contre l'abus, le m�pris et le manque de respect du personnel du consulat de France � l'endroit des s�n�galais. DIADIEUF.
BOUBACAR TONDE, AMANDLA. 5 ,all�e de la belle dame. 10 000 TROYES / FRANCE. Tel 06 61 54 88 25 / Fax :03 25 80 51 58. amandla@caramail.com
AMANDLA , HLM 5 N� 1739. BP 13341. DAKAR / SENEGAL. Tel 00 221 824 00 03
Infos diverses
=�galement � Saly, pourquoi ne pas se faire un petit plaisir. Mieux qu'une r�sidence secondaire dans le Berry, votre beau-fr�re, vos enfants, amis et s�urs pourront se bagarreront pour en profiter : Il s'agit d'une case compos�e au rdc d'une chambre d'une sdb, et d'une cuisine, et d'une tr�s grande mezzanine � l'�tage. il y a un jardin enti�rement clos, plant�, arbor�, avec une terrasse couverte. la maison � �t� enti�rement r�nov�e, elle est vendue enti�rement meubl�e et �quip�e, pr�te � y habiter (linge, drap, vaisselle ect etc) elle est �quip�e d'une alarme, et de la TV. Situ�e au milieu d'un lotissement r�put� de la station de Saly, au milieu d'un parc, jouissant de la plus belle piscine de la station, et disposant d'une piscine priv�e. Son prix: 350.000 ff documentation, photos, et vid�o sur demande au 06.09.23.67.02 (France) ou e.mail Cavalaire.diffusion@wanadoo.fr (photos dans la page Saly de Planete-Senegal.com)
= R�sidence Tolosa : 600 balles la semaine � Saly ? Mais si c'est possible ! L'�quipe sympa vous accueille d'abord sur le site http://gietolosa.free.fr . Sans contexte le meilleur-rapport qualit�-prix de la zone. Et si finalement vous vous offriez un p'tit s�jour sympa et pas trop cher au S�n�gal ?
= Une tr�s bonne affaire � Saly, � 100m de la plage Maison avec petit jardin ,Type F1 mezzanine (56 m�), permettant de loger 4 personnes (lit + divan) En 2001 : 1370FFau lieu de 1950FF la semaine T�l�phonez � Agn�s au T�l : 06 16 94 01 61 ou au 01 48 32 50 32. Site avec photos : http://fabc.free.fr/salylocation / e-mail : agnes_guinefolleau@yahoo.fr
= Yves, qui nous a envoy� de belles photos pr�sentes sur Planete-Senegal.com loue sa maison � Saly. Vous pouvez voir de belles photos et des renseignements sur son site plein de bonne humeur. http://www.multimania.com/bs172606
Vous pouvez �galement lui t�l�phoner en Belgique au (0032) 712 18267 ou au (0032) 756 00 333.
Cette rubrique vous est consacr�e. Si vous avez un message � passer n'h�sitez pas � me le communiquer (qu'il soit de nature personnelle, commerciale, associative etc...)
L'Asso du jour
La Jeunesse Internationale et Ind�pendante de Casamance (J.I.C) :
http://members.tripod.com/casamance/premiere.htm
Celestine Touty Sambou- 7 ans, Nicolas Sambou, Younous Sagna-15 ans,Maurice Sadio, Samuel Bass�ne et ses deux enfants(1 fille et 1 gar�on), Ansou Coly-15ans,Assane Di�dhiou-15 ans,Le P�re et les 3 fils de la famille Alilingu�ne,Dieudonn� Bass�ne,Jean Pierre Tendeng,Jean Batiste Tendeng 65 ans , etc.... Des Casaman�ais ? OUI ! Disparus ! Sans doute mort ! Souvent tortur�s ! Combien de femmes, d'enfants, de vieux innocents ont �t� massacr�s, tu�s sans raison par l'arm�e s�n�galaise ? Des centaines. Le crime est �norme. Nos amis Kosovar ou du Timor Oriental n'ont pas �t� si souvent et si longtemps massacr�s en toute impunit� ! En masse ! Sans que personne ne s'�meuve ! Des prisonniers politiques Casaman�ais pourrissent dans les prisons de Dakar et de Ziguinchor. Beaucoup meurent, tortur�s, pour n'avoir pas d�nonc� leur fr�res et soeurs qui luttent dans la brousse pour obtenir la libert� de circuler, la libert� de culte quel qu'il soit, la libert� de vivre, de commercer, d'avoir des for�ts luxuriante et non des champs d'arachide pourrissant leurs terres. Le scandale est immense. La peur r�gne en Casamance. Mais contrairement � l'id�e re�ue, c'est la peur d'une arm�e S�n�galaise omnipr�sente, qui se croit tout permis, et qui n'h�site pas � pilonner au mortier des villages tuant tout ce qui bouge.... pour dire apr�s que le Mouvement des Forces D�mocratiques de Casamance en est la cause. Pour voir l'urgence de la situation , les jeunes Casaman�ais, du monde entier (beaucoup ont quitt� le pays pour vivre enfin en libert� !) ont cr�� un site. Les t�moignages, les chiffres, les noms des morts, des prisonniers et des disparus donnent la naus�e.
Visitez �galement la page "Associations" de www.planete-senegal.com
Si vous-m�me dirigez une association culturelle ou humanitaire travaillant avec le S�n�gal, n'h�sitez pas � m'envoyer un petit mail !
Le site du jour
Le site d'Adja Nafissatou MBAYE, journaliste "Depuis que je suis toute petite, lorsqu'on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grande, ma r�ponse a toujours �t� "Journaliste". Tout a commenc� le jour o� ma m�re m'a emmen� sur le plateau d'un jeu t�l�vis� de la RTS (Radio Diffusion T�l�vision S�n�galaise). Le jeu avait pour principe d'inviter des enfants et de leur demander d'improviser une chanson. Moi, j'�tais surtout captiv�e par l'ambiance du tournage avec les cam�ras et les projecteurs. J'�tais pour ainsi dire captiv�e par ce monde surr�aliste du reste qu'est la t�l�vision." A d�couvrir sur ce site, une s�lection de sites s�n�galais, des articles, un CV, etc.... http://www.eltweb.com/adja/ |
Si vous avez fait un site parlant du S�n�gal, et voulez le voir para�tre dans cette rubrique, n'h�sitez pas et envoyez moi un mail. Si vous n'�tes pas un webmaster chevronn� (!) et voulez voir votre exp�rience publi�e sur le web, vous pouvez m'envoyer par mail vos textes et photos qui seront transform�s en page web sur le serveur planete-senegal.com.
Le chanteur du jour
Chorale de Casamance : Toute la force du chant Diola dans ces chorales catholiques de Casamance. Au-del� de l'aspect religieux c'est l'�me de Casamance qui ressort lorsqu'on �coute toutes ces chansons.
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Retrouvez �galement tous les chanteurs et leur discographie sur la page "Encyclop�die de la musique S�n�galaise" de Planete-Senegal.com
L'�crivain du jour
Fatou Ndiaye SOW : Fatou Ndiaye Sow est n�e au S�n�gal dans la petite ville de Tivaouane . Son p�re, originaire de Kaolack, �tait commer�ant. Apr�s la mort de ses parents, alors qu'elle n'�tait encore qu'une enfant, ce furent ses grands-parents qui l'�lev�rent. Elle a fr�quent� l'�cole coranique, puis l'�cole �l�mentaire de Tivaouane avant de poursuivre ses �tudes au coll�ge Ameth Fall de Saint-Louis et � l'Ecole normale de Rufisque. Depuis 1956, Fatou Ndiaye Sow habite � Dakar, o� elle vit avec sa famille, mais elle a beaucoup voyag� au cours de ces derni�res ann�es. Elle a entre autre particip� au 7�me Congr�s des po�tes tenu � Marrakech en 1984, aux Soir�es Po�tiques de Struga en Yougoslavie en 1985, au Festival de po�sie de Louvain en Belgique en 1986, au Symposium litt�raire contre l'apartheid de Brazzaville en 1987, au 5�me Congr�s mondial du PEN-International � Toronto en 1989, au Salon des po�tes de Lyon en 1990, aux Etats-Unis en 1997, etc. Plusieurs textes de Fatou Ndiaye Sow ont �t� mont�s par la Radio T�l�vision S�n�galaise. D'autres vont l'�tre. Fatou Ndiaye Sow a �t� institutrice pendant de tr�s nombreuses ann�es.
*** http://www.arts.uwa.edu.au/AFLIT/NdiayeSowFatou.html
Ses oeuvres :
-LE MOUTON D'AMINATA "histoires
pour les enfants"
-Fleurs du Sahel, po�sies (N.E.A. 1990)
-R�cit d'Afrique Takam-Takam / Devine, mon enfant devine, po�sies (N.E.A. 1981)
-Takam-Tikou (j'ai devin�), po�sies (N.E.I. 1997)
-Un code pour toi et moi - 2 tomes du code de la famille (Unicom II, 1997)
Retrouvez �galement tous les auteurs et leurs livres sur la page "Litt�rature du S�n�gal" de Planete-Senegal.com
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bulletin 34 / mars 2001